[Fic YGO]Flunnis La Génèse (Tome 1 & 2)

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kerberos

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Envoyé par kerberos le Jeudi 04 Février 2010 à 22:59


Voilà, on arrive en mi-parcours de cette nouvelle saison, et donc comme la première saison, un changement radical de mise en page sera prévu tout au long de l'épisode. Vous le verrez plus bas, bonne lecture sur cette petite remontée dans le temps, auquel l'on voit encore la gentillesse de ceux qui ont à présent complètement changé...

Flunnis 40# Evolution partie1

Chapitre I – Relais

Précédemment :


- Judith !!! Judith ! appela Gilles inquiet en secouant sa fille qui se réveilla brusquement. Judith, tout va bien, rien de cassé ?
Judith à peine secouée, ne put que bégayer.
- Euh... Oui, oui, je...
Mais Judith vit les derniers morceaux de l'esprit de Cosmo Queen : il semblerait qu'il n'y avait qu'elle qui voyait son ange gardien. Judith se précipita au sol auprès de son protecteur :
- Judith ?! demanda-t-il en voyant sa fille se précipiter vers le sol et regarder le plancher.
- Oh non, Cosmo Queen... Je... Je suis désolée, c'est ma faute, j'aurais dû t'écouter... s'excusa-t-elle, tout en y versant ses larmes.
- Judith, qu'est-ce que tu fais ? A qui parles-tu ? demanda-t-il incompréhensif
Mais Judith n'écouta pas son père, elle était effondrée :
- Ne me laisses pas toute seule, j'ai besoin de toi, Cosmo Queen ! insista-t-elle. Nooonn...

*****

Il était temps pour Flunnis de monter dans le train, Yann et Judith le saluèrent une dernière fois avant que les portes ne se referment et que le train ne parte. Judith avait de nouveaux de petites gouttelettes qui ruisselaient sur son visage, mais ce n'était que des larmes de joie.



De nombreux gardes commencèrent alors à se déployer et à parcourir l'enceinte du royaume.

C'est à ce moment là que Flunnis aperçut quelque chose :
- Tiens ? Qu'est-ce que c'est ?
[...]
Flunnis retrouva ses proches :
- C'est génial ! Je ne vous savais pas là !
[...]
Flunnis vit que Judith avait les yeux rouges :
- Qu'est-ce que tu as ? On dirait que tu as pleuré ! remarqua-t-il

Judith ouvrit les yeux, elle se retrouvait dans une chambre remplie de portes, au milieu de nulle part.
- Où suis-je ?
[...]
Judith acquiesça le regard encore sous le choc, et fascinée par cette femme à la longue chevelure dorée qui lui avait sauvée des griffes de la créature il y avait quelques instants.

Alice ouvrit son frigo, et figea son regard dans le vide en remarquant enfin consciemment qu'il y avait un problème chez elle.

- Ce que l'on appelle une simple coïncidence, répondit Samantha. La chance n'a rien à voir avec tout ça. Donnes-le moi !
[...]
- Mais je ne suis pas schizophrène !!! croissa-t-elle devant ses amis

- Alors ? Cette nouvelle ? Vous avez pu la retrouver ? s'inquiéta-t-elle
[...]
- Tu la connais ? demanda-t-elle sur son lit d'hôpital

- Mais comment vous le saviez ? s'étonna Yann. J'ai passé deux heures de recherches !!
[...]
Une lignée d'insectes commencèrent à créer une gigantesque muraille.



Alice venait de finir de prendre toutes ses affaires et ses prospectus, elle sortit de chez elle en direction de son véhicule, mais un car apparut près de l’entrée :
- Alice, attends ! intervient Blist
Alice s'arrêta de marcher, et regarda Blist et Meredith sortir du véhicule.
- Qu'est-ce qu'il y a ? soupira-t-elle. Je suis pressée je dois aller au boulot
- Tu n'étais pas venue à la gare saluer Flunnis, alors on est venu, expliqua-t-il tout en refermant la portière.
- Pourrions-nous parler un instant ? proposa Meredith
- Pardon ? demanda Alice incompréhensible.
En effet, Alice ne comprit pas réellement ce que lui voulaient les Nevers, mais Blist lui répondit :
- On a besoin de toi…

Et maintenant :

Mardi 29 septembre 2009


Francois conduisit le véhicule, Gilles écouta de la musique à l’avant de la voiture, et les enfants s’ennuyèrent à l’arrière.
- Cout it pie wo-o-orst ! Lait twil ga-a-aïd tiou home ! chanta Gilles.
Judith aperçut la petite grimace que tenta de cacher Yann, durant le long du chant du père, et désespéra un peu. La radio continua à diffuser la musique qu’aucun des deux enfants ne put écouter tellement la voix de Gilles était portante. « But if you never try you’ll never know Just what you’re worth Light will guide you home And Ignite your bones And I will try to fix you ». Francois perçut le silence qui regna à l’arrière et se rendit compte que les enfants n’appréciaient pas terriblement la passion du chant de son compagnon.
- Tu devrais peut être arrêter de chanter un moment ! suggéra Francois.
Gilles s’interrompit un instant et se tourna vers Francois afin de comprendre ce qui ne va pas.
- Pourquoi ? Qu’est-ce que j’ai fait ? demanda-t-il des yeux ronds.
- Tu met les enfants mal à l’aise ! répondit Francois.
- Mais j’ai déjà chanté l’autre fois, non ?, puis se tournant vers sa fille : Tu n’aimes pas Judith ?
Judith grimaca un peu, gênée de ne pas savoir si elle doit mentir pour ne pas vexer son père, et également parce que cette réflexion lui laisse sans mot dire.
- Hé bien… hésita-t-elle en baissant un peu la tête.
Sa chevelure avança légèrement vers l’avant de façon à cacher un peu son visage, mais Gilles comprit aussitôt la réponse.
- D’accord, c’est bon j’arrête ! en déduit-il.
- Disons, que je n’ai pas eu le temps de bien te connaître, après toutes ces années… dit-elle sincèrement dans un souffle.
Gilles réfléchit un instant : il était hélas vrai qu’après ces péripéties, même en ayant le statut de père, Judith ne le connaissait pas aussi bien. Et lui non plus n’en savait pas beaucoup de choses sur elle. Il comptait bien le faire lorsqu’il l’avait emmenée à Paris, mais un changement les ont forcés à rentrer.
- Judith, que veux-tu savoir ? proposa-t-il. Tu peux tout me demander dans la mesure où je peux répondre. J’ai des tas de qualités, et bien également des passions.
- Comme la chanson ? demanda Yann un peu curieux
Judith aussi curieuse que Yann attendit une réponse de la part de son père. Ce dernier réfléchit un instant, et se remémora de plusieurs souvenirs en levant les yeux au ciel.
- Euh… Oui. Oui, oui, insista-t-il, j’aime la musique. J’ai toujours adoré chanter en effet.
- La preuve qu’il chante quasiment tout le temps que je conduis ! rajouta Francois
- Durant les guerres, à certains feux de camp, conta-t-il, il arrivait que l’on chante tour à tour pour divertir et amuser la galerie, on y chantait et buvait ensemble. C’était difficile la guerre, très dur, on cherchait à survivre jour et nuit ce n’était jamais simple de s’en sortir. Ces nuits étaient les seuls moments pour nous de rester humain et de s’amuser.
Judith rehaussa la tête, et prit ses mèches de cheveux afin de les replacer correctement. Gilles continua :
- Il n’y avait pas de place à la joie dans ces guerres là, certains même ont craqué de douleur à cause du fait qu’ils ne supportaient pas leur devoir de tuer d’autres hommes, mais il était de notre devoir de protéger nous et l’Etat. Oui, j’aime chanter, ça me permet d’oublier ces peines, ces douleurs, chavirer dans un autre monde qu’est celui où nous vivons, même si je chante mal. Ce n’est pas si désagréable d’écouter de mauvais chanteurs, entre amis on pouvait rire, se moquer de nos voix graves et l’on faisait souvent des devinettes sur qui trouvera le titre ou l’artiste de la chanson ! D’ailleurs c’est en chantant devant elle que ta mère m’a aimé.
Au mot « mère », aussi curieuse qu’elle ne l’est, Judith ne put s’empêcher de couper et de lui demander :
- Ma mère m’aimait ?
- Judith ! dit-il déçu. Pourquoi es-tu si intéressée par ta mère ?
- C’est elle qui a tenté de me tuer, à plusieurs reprises !
Francois et Yann ne comprirent point la dérive du sujet, et semblent ne pas être au courant.
- Hein ? Elle a essayé de te tuer ? s’étonna Yann
- Voyons chérie, c’est du passé ! Pourquoi t’obstines-tu à ne pas vouloir oublier ce douloureux passé ? Hein ? Laisse ces détails s’en aller, conseilla son père. Oublie ça, elle est décédée c’est tout ce qui compte. Dit-il doucement.
- Tu viens de dire que je peux tout te demander si tu peux répondre ! répliqua-t-elle
Gilles soupira, il était bien évident que Judith ne lâchera pas cette histoire avant longtemps et tant qu’elle n’en saura pas plus. Et sembla déçu qu’elle s’intéresse plus à elle plutôt que lui-même qui se trouve à ses côtés. (Dois-je tout lui dire ? Oui ? Non ? Et si je lui mentionne le fait qu’elle possédait une sœur ? Que va-t-elle faire encore ? Va-t-elle passer tout son temps à la chercher si sa sœur est encore vivante ? Dans la mesure où je l’ai déjà vue bien avant sa naissance, et que je sais parfaitement ce qui va se dérouler, si je lui cache des choses, peut-être que tout changera !)
- Bien, à vrai dire, je n’en n’ai pas la moindre idée de si elle t’aimait vraiment ou pas. De ce que je sais, elle avait eu… un accident quelques jours après ta naissance, elle ne savait plus qui j’étais à ses yeux. Nous avions rapidement rompu, j’ai continué l’armée et je n’ai plus eu de nouvelles d’elle.
Gilles fit un soupir avant de reprendre :
- Désolé Judith, je n’en sais rien. Je n’ai plus vécu avec elle, et je suis navré de ne pas être avec toi durant tes débuts de croissance. Mais maintenant, je suis là, et je suis bien décidé à changer tout ça. Mais pour ça, il faudra que tu me suives, je ne peux pas y arriver seul. Notre relation ne pourra pas avancer tant que tu t’obstines à penser encore à elle, c’est fini, oublie. conseilla-t-il.
Le véhicule stoppa devant l’école primaire.
- Les enfants, nous sommes arrivés ! Terminus ! annonça Francois.
Les enfants prirent leur sac à dos, et avant de sortir du car Yann les remercia :
- Merci encore de m’avoir emmené en voiture jusqu’à la gare et jusqu’ici !
- Ce n’est rien petit ! Tu es bien l’ami de Judith ! Je rends simplement service ! répondit Francois
- Bon cours, apprends bien tes leçons ! recommanda Gilles. Portes-toi bien ! dit-il à sa fille
- Oui p’pa ! répondit-elle
Les enfants se dirigèrent alors vers le portail, et les deux hommes reprirent la route.
- Alors comme ça je suis ton ami ? taquina Yann avec un petit coin de sourire
- Oh, voyons ! répliqua Judith en lui donnant un simple petit coup de coude.
- J’dis ça, j’dis rien ! C’juste qu’on s’entendait vraiment pas avant ! dit-il
- C’est vrai ! affirma-t-elle. Mais on était tellement aux côtés de Flunnis et de tous les autres que finalement, tout ça, c’est du passé ! expliqua-t-elle. N’est-ce pas ?
- Non ! répondit Yann
Judith fit les yeux ronds en tournant son regard vers son ami.
- Quoi ? s’indigna-t-elle
- J’plaisanteuh…. s’amusa Yann. On n’a pas le droit de faire de blagues ?
Les deux enfants rièrent un coup, cela faisait bien un moment qu’ils ne pouvaient pas se permettre de ne plus être aussi sérieux.
- Allez, la dernière qui arrive sous le préau devra faire tous les devoirs de l’autre pendant une semaine, c'est-à-dire toi ! s’amusa-t-il en courant.
- Héé nan, tricheur !!! hurla-t-elle en le rattrapant.

Alice gara son véhicule près de son entreprise, et à ses côtés se trouvaient Blist et Meredith.
- Quoi ? Vous plaisantez, j’espère ! demanda Alice.
- Tu es la seule qui a pu la vaincre, et sans main de départ ! ajouta Blist
- Bon, d’accord, je vais y réfléchir. Mais là il est temps pour moi d’aller travailler. J’ai beaucoup de travail.
- Bien, on attendra ton choix suite à ta réflexion ! conclut Blist. Tu sais comment nous joindre !
- Mais je le répète, il nous faut la retrouver au plus vite ! rappela Meredith. Alors il ne faudra pas trop tarder ! recommanda-t-elle.
- Très bien ! accepta Alice.
Meredith et Blist sortirent du véhicule et saluèrent Alice de la possibilité de sa future aide précieuse avant de sortir à deux en ville. Alice retrouva l’étage où elle travaillait d’habitude et retrouva ses collègues, simple routine.
- Mademoiselle, votre courrier ! dit l’une des secrétaires en y déposant les enveloppes.
- Bien merci Yélise ! remercia Alice
Pour elle, c’était le début d’un long travail à réaliser, mais elle n’abandonna et n’avait pas eu le temps de penser à la fameuse proposition de Blist et de Meredith. L’entreprise attendait beaucoup d’elle : le surmenage ne lui manque pas. Mais elle sait que, lorsqu’elle est à bout de nerfs, elle peut compter sur son amulette autour du cou, en forme de soleil, celle qui lui a toujours porté chance dans certaines situations, et qui lui calmait depuis son enfance.


kerberos

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Envoyé par kerberos le Samedi 06 Février 2010 à 14:27


Chapitre II – Aller de l’avant…

Dans le train, Flunnis regardait inlassablement à travers la vitre. Jamais il n’avait trouvé autant d’excitation qui lui gagnait car il sait que bientôt il va pouvoir découvrir de nouveaux artistes, des lieux et devoir lui-même faire ses preuves dans ce domaine. (Qui sait ? C’est un peu comme la fois où Blist et Meredith attendaient beaucoup de moi lors du tournoi pour le remporter. Ca ne devrait pas vraiment y changer.) Il regarda la vitesse de défilement des arbres et des prairies, des autoroutes, des rails et des maisons : ça lui calmait un peu. Toute cette excitation le mettait mal à l’aise, surtout quand il est seul. La porte de la salle s’ouvrit grande ouverte : Rodges T.J. entra.
– Allez, c’est le moment ! déclara l’artiste
– Déjà ? demanda Flunnis surprit. Mais on vient de démarrer le train y a pas vingt minutes ! On est déjà arrivé ?
- Non, nous ne sommes pas encore arrivés à destination ! rectifia Rodges. Comme je l’ai dit, cette tournée sera de courte durée, donc il n’est absolument pas question de perdre du temps ! Ton apprentissage commence dès maintenant !
- Mais j’croyais que je le ferais petit à petit ! s’étonna-t-il. Un mois c’est aussi court ?
- Oui, c’est court. Très court quand il te faudra faire plusieurs tours et plusieurs soirées de spectacle. Hé oui tu le feras bien évidemment petit à petit, c’est pourquoi tes parents et moi avions décidé de te mettre à niveau le plus tôt possible, déclara Taylor. Et au vu du peu de temps qu’il nous reste avant de tourner notre prochain spectacle, je ne vois pas d’autres moyens que de débuter tout de suite.
- Qu…
- Trèves de bavardages ! coupa Rodges. A partir de maintenant et jusqu’à nouvel ordre, je suis ton initiateur, c’est moi qui donne les ordres à suivre. Treize heures de travail par jour, cinq le matin, sept l’après-midi et une le soir : 7h-12h, 13h-20h et 21h-22h excepté les déplacements en car où la faible place nous empêchera de travailler. Un total d’une heure de pause maximum par semaine, est-ce bien clair ?
Flunnis n’assimila pas le calibrage du temps de travail qu’il sera forcé de faire, et voulut en proposer moins :
- Treiz…
- Ai-je été clair ? répéta Rodges en haussant la voix tout en articulant chaque syllabe lentement.
- Mais non, mais jamais je n’irais à treize heures par jour ! Tu veux ma mort ou quoi ? s’indigna-t-il
- C’est moi qui décide du nombre d’heures ici, tes parents comptent sur moi pour que tu rattrapes tout le temps perdu depuis ton enfance, et que tu sois un professionnel de ton âge, déclara Rodges T.J. d’un air intolérable. Et si tu souhaites régler ça tu n’as qu’à en parler à tes parents ! Ca fait déjà cinq minutes de moins cette semaine, il t’en reste cinquante-cinq !

Sous le travail acharné de ses collègues, Alice pianotait sur un traitement de texte en copiant un document qu’elle regardait alternativement sur la table jusqu’à ce qu’on lui signala un nouveau message sur son ordinateur. Comme toujours, elle mit la priorité sur le courrier avant son travail personnel, il s’agissait d’un e-mail venant d’un certain Mac Feyh.
« S’il te plaît Alice, j’aimerais savoir si tu es sûre ou non de divorcer. Je t’ai bien signalée que je me suis mal comporté après avoir trop bu au restaurant. Si tu le souhaites, on peut tout recommencer. Les papiers sont faits, il ne reste qu’à toi de remplir le contrat.
Je t’aime encore... »

(Comme s’il pouvait encore espérer être avec moi, se moqua-t-elle. Il n’a pas remarqué que je ne suis même pas allée le voir à l’hôpital…) Alice se souvint du moment où elle dut aller à l’hôpital pour s’occuper de Blist, c’était d’ailleurs le premier à se réveiller. Et se remémora de cet instant qu’elle n’est pas prête à oublier, oui, l’instant où Meredith ne s’était pas encore éveillée de son lit d’hopital..


Flashback

Blist et Alice se promenaient dans le parc de l’hôpital, le soleil luisait, et les nuages daignaient se montrer ce jour-là.
– Ca fait du bien de prendre un peu d’air frais, déclara-t-elle. Après tout le temps que je m’enferme dans les salles.
– Tu travailles constamment ? demanda Blist
– Oui, enfin presque. répondit-elle. Disons simplement que je suis à un niveau supérieur à certains autres de mes collègues, ce qui me donne non seulement des privilèges mais aussi beaucoup plus de boulot. C’est assez rare que je passe des moments comme celui-ci. Du beau temps, marcher un peu, respirer, avoua-t-elle.
– Et le prince charmant ? demanda-t-il.
- Oublions-le ! Il n’y a jamais assez de bons princes dans cette ville. Le dernier homme que j’ai aimé me dit que je suis trop classique, que je n’ai pas l’esprit ouvert, que je ne donne pas assez de temps pour lui et que je pleure tout le temps même pour des cas qui lui paraissent inutiles.
- Tu pleures souvent ?
- Pour plusieurs raisons, mais lui s’en fout quasiment ! Il ose m’avouer qu’il m’aime mais il ne me soutient même pas quand j’ai un problème ! dit Alice. Pour lui, je ne suis rien, il ne m’a jamais dit que j’étais belle !
- Personnellement, je te trouve plutôt jolie ! S’il ne te le dit pas, c’est que ce n’est pas un homme du genre à vouloir réellement les femmes, avoua-t-il.
Alice fit un bref regard vers lui avant de continuer à regarder devant elle tout en lui remerciant.
- Merci, c’est gentil.
- Et puis, s’il était comme ça depuis des lustres, pourquoi n’as-tu pas rompu tout simplement ? demanda Blist.
- Je l’ai dis, avec tout le travail, je n’ai presque plus de temps pour mes problèmes personnels, et puis, je compte le faire là. Et plus vite je m’en serais débarrassée, plus tôt seront les chances de trouver le bon. Enfin j’espère !
- Tout à fait d’accord.
- Et toi ? demanda-t-elle curieuse.
- Moi ? Je suis un peu menuisier et un peu réparateur. Les deux à la fois, surtout lors de cambriolages, je répare souvent les portes, expliqua-t-il.
- Tu peux aussi réparer les portes dans les rêves ? rit-elle.
- Les portes dans les rêves ?
- Oui, non, c’est plutôt un délire de ma part. En fait, je sais pas, depuis quelques temps je rêve de ma salle de travail et… et je sais pas, y a un trou en plein milieu de ma porte, comme si l’on avait balancé une hache à distance ou frappé à plusieurs reprises à tel point qu’on pouvait y apercevoir une longue et grande fissure ! avoua-t-elle. Mais… ce n’est qu’un rêve…
- Ca doit peut être vouloir signifier qu’il est temps de quitter et de se libérer de tout le travail que tu as à faire. De passer à autre chose, comme consacrer plus de temps à ta vie privée.
- Non, non. Sinon, j’aurais préféré que la porte soit ouverte et non pas trouée et à moitié détruite !
- Bon, dans ce cas, si tu es superstitieuse ce doit être un quelconque « danger » ! suggéra Blist.
- Ou peut-être tout simplement que ça n’est rien d’autre qu’un rêve, aussi bizarre qu’il soit ! dit-elle en haussant la tête vers Blist.
Les deux personnages rièrent un instant, puis le silence régna dans leur gorge. Tous deux se regardaient mutuellement, yeux dans les yeux, sans un mot. Le visage de Blist s’approcha lentement de celui d’Alice, il l’embrassa tendrement pendant un moment, puis releva la tête pour la regarder. Blist réalisa ce qu’il venait de lui faire et avoua :
- Excuse-moi Alice, je…
Alice l’empêcha de terminer sa phrase, elle se mit sur la pointe des pieds en approchant son visage près de celui de Blist, elle l’attrapa par le col de sa chemise et l’embrassa langoureusement.

Fin du flashback


(Oh…. Comment j’ai pu faire ça… ? se demanda Alice. Il est avec Meredith, il aime Meredith… Comment a-t-il pu… ?) Alice s’acharna sur le clavier en supprimant l’e-mail qu’elle venait de recevoir, elle poussa un juron et ferma les yeux en cachant son visage de ses mains en croisant ses doigts, coudes sur le bureau.
- Alice ? demanda sa collègue. Ca ne va pas ?
Alice relâcha ses mains de son front, et fit un regard vers son amie.
- Non, non, ça va. Simple problème personnel, c’est tout, expliqua Alice.
- Si tu veux, je peux t’aider à te détendre un jour avec une séance de méditation ! proposa-t-elle
- Merci Martha, mais non merci. Je me débrouillerais.
- Comme tu veux ! Mais au moindre changement d’avis, n’hésite pas !
- D’accord, merci, répondit Alice avec un coin de sourire.
Martha retourna à son poste de travail, tandis qu’Alice regarda de nouveau son écran d’ordinateur. Elle songea à ce que Blist et Meredith sont en train de faire en ce moment.


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Envoyé par FFYugi le Dimanche 07 Février 2010 à 12:41


Suite à une requête spéciale de kerberos, cette fic et celle intitulée "William et l'Echiquier Maudit" resteront ouvertes simultanément.

Elles seront surveillées afin de vérifier leur avancée et lockées si le membre en fait la demande ou si elle ne progresse plus.

___________________


La bêtise humaine est la seule chose qui donne une idée de l'infini - Ernest Renan


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Envoyé par kerberos le Dimanche 07 Février 2010 à 18:47


Chapitre III – En temps de guerre

Judith songea à la mort de son ange gardien sous la lecture à voix haute d’un camarade de classe.
- …mais Julien fait un dessin. Pierre lui tape sur la main, prend son stylo. Julien ne le regarde pas… lut l’enfant.
(Pourquoi en sommes-nous arrivés là….? se demanda Judith. Tu m’as guidée, tu m’as enseignée, tu m’as aidée à découvrir des vérités sur le passé… Sans toi, je n’aurais pas le courage, ni les solutions pour sortir de mes souvenirs ou de mes cauchemars…)
- Judith ? demanda le professeur.
Judith retourna les pieds sur terre, pour elle la lecture ne lui plut guère : ce n’était que des livres pour les enfants de son âge… Et pourtant, elle lisait déjà Harry Potter à l’école des Sorciers l’an passé, toute seule, dans sa chambre lorsque les Nevers ne se souciaient plus d’elle ! Elle rêva tout comme Harry la vérité sur ses parents, ce qui s’est passé durant sa naissance, et comment ses parents se sont rencontrés !
- Euh… Oui maître ? demanda-t-elle hébétée
- Tu peux lire la suite s’il te plaît ?
- D’accord !
Judith s’éxécuta, et chercha l’extrait du passage où la lecture du précédent élève s’était arrêtée !
- Euh… Julien prend un feutre. Et dess…
- Judith ? Est-ce que tu nous as suivis ? demanda le professeur
Evidemment : Judith était toujours seule, et isolée du reste de sa classe. Elle n’avait aucun voisin à proximité pour lui souffler sur quelle page se déroula la lecture. Yann regarda Judith plus ou moins aussi intrigué que les autres camarades de classe.
- Euh…
Le professeur se leva et se dirigea vers sa table afin de vérifier à quelle page où se trouva Judith.
- Judith, nous ne sommes pas à la page 28 mais à la page 40 !
- Excusez-moi… dit-elle d’une voix à la fois timide et maussade.
Judith feuilleta les pages jusqu’à pointer sur la page quarante, mais la sonnerie de l’école retentit : la sauvant de l’affreuse lecture qu’elle devait lire pour toute la classe s’il n’était pas encore seize heures ! Les enfants crièrent de joie : comme toujours, la sonnerie des seize heures signifiait la fin des cours et le début des jeux entre amis : billes, pogs, cartes, marelle, balancoire, et bien d’autres n’ayant pas recours à des objets ! Judith retrouva ses vagues maudites pensées du décès de Cosmo Queen, mais Yann l’accompagna.
- Hé ! intervient-il. Ben alors, tu pensais à quoi en cours ?
- Rien, rien… Simple mauvaise semaine ! maugréa-t-elle
- J’comprend ! Sans Flunnis on rentrait tous les deux toujours seul à la maison ! Ca ne t’ennuie pas qu’on fasse un bout de chemin ensemble ?
- Nan merci, refusa poliment Judith. Je me dois de rentrer directement, sans aucun retard. Je suis consignée.
Judith fila alors sans lui dire au revoir. Yann un peu contrarié se décida finalement à rentrer seul chez lui ! Devant les nouvelles racailles qui se sont installées dans le coin parce que la police surveille leur dernière place, Yann ne pouvait pas se risquer de rentrer seul sans Flunnis à ses côtés ! Flunnis était en effet le fils d’une grande famille bien connu : ces racailles n’en feraient rien sous peine de se faire attaquer voire piégés comme la dernière fois ! En effet, Flunnis était agile et savait faire diverses figures en plein saut. Il savait se mesurer à des jeunes bien plus grands avec sa méthode à lui ! Comme leur envoyer des manuels scolaires qui rebondissent, ou utiliser son sac d’écolier magique qui lui permettait diverses choses toutes aussi délirantes que palpitantes ! Dommage que Flunnis était le seul à se servir de son sac : Yann en serait incapable. Cette fois, il fallait mener la tête haute face à ces adolescents ! A peine arrivé près de chez lui qu’il croisa l’un d’eux :
- Hé, mais r’gardez !! C’est qu’il est gr-rand maintenant ! Il peut rentrer tout seul sans son petit pote ! s’esclaffa l’un.
- Laissez-moi tranquille !
- Oh mais on ne t’a rien fait ! dit un autre. A moins qu’t’aies envie qu’on t’le fasse ! proposa-t-il
- Nan, je veux rentrer !
Yann contourna les trois garçons qui lui faisaient face et continua à avancer sur le trottoir, mais deux autres lui barrèrent le passage.
- Hé morveux ! Fous pas un vent ! annonça Max.
- Ouais, on veut juste faire les présentations ! dit le précédent.
Yann était encerclé par ces cinq garçons, il ne pouvait plus fuir. L’un d’eux tendit la main et se présenta :
- Wesh ! Moi c’Fred !
Yann refusa de lui répondre et de lui serrer la main, il les regardait tous les uns après les autres.
- Hé p’tit ! On t’a jamais appris la politesse ? demanda Max.
- Ce qu’il est impoli ! Il faudrait lui faire apprendre une leçon ! proposa Fred à ses amis.
Tous les autres acquiescèrent, et ce fut Max qui fit une droite en plein sur la tête de Yann, mais le vieillard avait tout vu, et sortit à l’extérieur.
- Laissez-le tranquille ! dit le vieillard de sa voix forte et impuissante.
- C’qui c’bouffon ? demanda l’un curieux.
- Qu’est-c’tu nous veux ? demanda Fred
- Nan papa !! gémit Yann
- S’il vous plaît laissez-le !
- Haha, c’bouffon va m’faire peur avec ses menaces ! plaisanta un autre.
- Et… Et… Allez, et si je vous fais des réductions sur la boutique ? proposa-t-il
- Comme si on joue encore à ces petits bouts d’cartons ! commenta Max.
- Et… Et, de l’argent ? proposa le vieillard.
- Du fric ? Sérieux ? demanda Fred tout en regardant ses amis avec un air assoiffé.

Judith rentra chez elle, son père impatient de sa venue.
- Vingt minutes de retard ! Qu’est-ce que tu as fais ? demanda Gilles
- Je suis rentrée à l’heure ! déclara Judith
- La fin des cours est à seize heures, et il te faut 5 minutes pour rentrer !
- Mais je peux pas rentrer en cinq minutes même en courant moi !!! s’étonna Judith
- JE t’ai emmenée à l’école à neuf heures précises, et j’ai pu rentrer à neuf heures cinq !
- Papa ! je te signale que je ne conduis pas ! avertit-elle en fronçant un sourcil
- Oui, bon bref, c’est pareil ! Je ne veux plus que cela se reproduise ! Files dans ta chambre faire tes devoirs !
- Oui… papa… soupira-t-elle.
Judith monta dans sa chambre, se débarrassa de sa veste et de son sac. Elle s’allongea sur son lit, ventre en l’air, le regard déprimant.


Flash

Judith se retrouva dans les ruelles Allemandes, où la population sembla volatilisée. Et vit son ancienne projection et sa mère qui était surprise du changement spatio-temporel, l’ancienne Judith également. Sa mère était curieuse, et intriguée, elle regarda autour d'elle, jusqu'à ce qu'elle vit la précédente Judith à terre. Surprise, elle releva sa dague, et la pointa vers l’enfant.
- NON ! cria-t-elle dans la rue.
Sa voix résonna dans toute la ruelle avant de disparaître. Judith comprit qu’il s’agissait du moment peu avant de s’apercevoir que Cosmo Queen s’était sacrifiée pour la sauver.
- Maman, ça suffit ! dit-elle
Sa mère se retourna effrayée de voir qu’elle pouvait éventuellement se téléporter à divers endroits.
- Sacrilège ! s’écria-t-elle
Un vague grondement s’entendit aux alentours. Il semblerait qu’il y ait également des hélicoptères et des avions survoler la ville.
- Qu’est-ce que… demandèrent les filles
Il s’agit d’un raid aérien. Les russes prenaient la même fameuse technique que les nazis, à quelques différences près. Judith fit de gros yeux, et la mère n’ayant jamais connu les avions crut qu’il s’agissait d’une invasion de créatures inconnues !
- Oh mon dieu… murmura Judith d’une faible voix
Sa mère croyant qu’il s’agissait des pouvoirs de Judith d’avoir rallié toute une armée de monstres de son genre se retourna d’un air barbare.
- Misérable sorcière ! Je ne servirais pas de sacrifice pour vos prières et autres sorcellerie de la sorte ! YAAAHHH !!! hurla-t-elle en fonçant droit sur Judith.
Judith ne voulut point s’attarder à rester sur place : elle fila aussi vite qu’elle put, poursuivie par sa folle mère qui pourrait l’asséner avec sa dague bien en l’air. Une première vague de bombes chutèrent et explosèrent derrière les filles à quelques kilomètres derrière !
- Aussi puissants que sont vos pouvoirs, vos menaces ne suffiront pas à me faire capituler !!! hurla-t-elle en voyant les explosions derrière elle.
Judith ignora cette folle : ce qu’elle souhaitait c’est éviter plutôt ces machines de guerre ! Mais en quelle année se trouvait-elle ? Elles sortirent de la ville, et virent déjà de nombreux soldats qui commencèrent à se déployer !
- Encore des villageois ? Je croyais que nous les avions tous mis en sécurité ! s’étonna le capitaine.
- Peut-être qu’ils étaient coincés, et qu’ils ont réussi à se libérer ! dit l’un des soldats
- Tant pis, préparez à tirer ! ordonna le capitaine
- Non ! s’écria Gilles
- Gueffroy, oserez-vous désobéir à mes ordres ? demanda le chef.
- Nous pouvons encore sauver ces deux innocentes ! assura Gilles. Les ennemis ne sont pas encore arrivés !
- Chris Gueffroy, j’apprécie votre humanité, mais il est question de protéger notre peuple tout entier. Deux femmes sacrifiées valent mieux qu’un soldat abattu ! N’auriez-vous pas remarqué que l’une d’elle porte une dague souillée de sang ? rappela le capitaine
- Un homme les a sûrement enfermées, elle l’a sûrement tué pour se libérer et s’enfuir ! Je ne vois que cette hypothèse !
- Abattez-les ! ordonna-t-il
- NON !! hurla Gilles en se faufilant vers les filles
- Gueffroy, vous les sauvez nous vous tuerons ! GUEFFROY ! hurla son capitaine
Mais Gilles était déjà bien avancé.
- Papa ? s’écria Judith en le voyant vêtu d’un uniforme de soldat
Mais Judith n’eut point le temps de le toucher qu’elle disparut subitement. Gilles surpris ne comprit pas ce qui vient d’être arrivé à la jeune fille : était-ce un piège holographique ?
- GUEFFROY !!! hurla-t-il. Tirez !

Fin du flash


Judith s’éveilla peu à peu sur son lit.
- JUDITH ! hurla son père
- Hein ? Oui ? Quoi ?
- Je t’ai appelé pour manger ! Alors tu descends tout de suite !
- Oui p’pa !

Il était dix-huit heures, Alice continua de travailler, puis songea qu’il lui faille quelqu’un pour qu’elle puisse se calmer. Elle envoya un message à Blist signalant clairement qu’elle est finalement bien d’accord pour les aider à retrouver Samantha. Mais tout cela dans un unique but : savoir ce que ressens réellement Blist au fond de lui. Serait-ce elle, ou Meredith ? Il fallait qu’elle sache qui a-t-il choisi !


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Envoyé par Monkeydfaust le Lundi 08 Février 2010 à 20:05


Il est pour qui le centième post? Il est pour moi. Plus sérieusement tes derniers chapitre étaient comme d'habitude super, j'ai particulièrement aimé le passage dans la prison (mon esprit perver reprend le dessus). Bon j'ai pas grand chose à dire à part poste vite la suite.
PS: tu vois, finalement y a toujours un nase pour te faire mentir.

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Envoyé par kerberos le Jeudi 11 Février 2010 à 20:48


Autant dit un échange de 100ème post Monkeydfaust, je suis jaloux ! (T'en fais pas, je connais plus pervers que toi ! Mais bon, sois pas jaloux, tu es très bien comme ça !) La suite, enjoy !

Chapitre IV – Entre soeurs

Samantha était allongée sur la table, la créature et le personnage patientèrent sur des fauteuils.
– Alors ? demanda le personnage. Qu’est-ce que cela produit si c’est elle-même qui a joué sa propre carte et usé de l’effet du monstre ?
– Rien. Elle déjà affectée, liée par totem ! expliqua Myrmecosystus. Elle avoir empreinte depuis enfance !
– Une empreinte de naissance… prononca-t-il lentement. Je vois… Et ce n’est que maintenant que son empreinte se réveille ?
– Oui, car elle vaincue ! Faiblesse mener défense et réveil créature !
– Elle doit être rudement forte pour n’avoir perdu aucun duel depuis son enfance alors… s’étonna le personnage. Et comment le système réagit dans son corps si la créature qui sommeillait encore mute lorsqu’elle est en situation de danger ou de faiblesse d’un adversaire ?
– Moi pas savoir ! répondit la créature. Armaniinae décidera et enseignera sbire ! Elle pouvoir mourir !
– C’est drôlement incompréhensif… déclara le personnage. Si l’âme de la créature réside bien en son âme depuis son enfance, pourquoi maintenant décidera-t-elle de la mort ou non de Samantha, et qu’est-ce qui te fais dire que ton ami enseignera son art du duel ?
– Moi pas savoir ! Premier cas !
– En tout cas, de ce que je sais, c’est qu’elle va bientôt se réveiller. Mais je ne saurais savoir si elle aura… quelque chose de nouveau. Et ça, c’est à voir… En attendant, pour savoir, est-ce qu’il y a d’autres « sbires » dans le coin qui possèdent aussi une empreinte ? demanda-t-il
– Non. Elle liée totem, lien du sang ! répondit la créature. Et totem unique, seul grand pouvoir de la porte !
– Bien… Alors… Comment vont « ressusciter » tes trois autres compagnons ?
– Défaite par pouvoir ultime !
– Je n’ai pas compr…
On entendit alors une brève respiration de Samantha : elle est revenue à elle. Les deux inconnus se levèrent de leur siège et s’approchèrent de la fille :
– Samantha? demanda-t-il

Yann était assis sur le salon, du sang coulait encore de son nez et son œil gauche était beurré de noir. Le vieillard vint à lui, un paquet de glaçons à la main et soigna son fils.
– Pourquoi est-ce que tu leur as donné de l’argent ? s’entêta le garçon de demander.
– Voyons Yann, je ne peux pas les laisser faire !
– C’aurait été beaucoup plus économique de payer les soins plutôt qu’eux ! rappela-t-il
– Ne dis pas n’importe quoi, je sais ce qui importe le plus, répondit le vieillard. Et un jour, quelqu’un leur viendra faire la morale.
– Qui veux-tu que ce soit ? Ce sont des racailles, ils n’écouteront jamais personne à moins qu’ils en soient terrorisés mais ça m’étonnerais !
– Quelqu’un qui te protégera toi, et sûrement les prochains ! Et ce jour-là, tu n’auras sûrement pas conscience qu’on t’a vengé, tout simplement. Mais ce ne sont pas tes histoires, laisse les autres régler ce problème. conseilla son père en parlant lentement. Tout ce qui m’importe, c’est que tu ailles bien et que l’on ne te causera aucun souci !
Yann n’assimila pas tellement les paroles de son père, mais il sait que son père est doté d’une grande sagesse et que ses paroles valent mieux que tout le reste. Quelqu’un toqua à la porte, et le vieillard prit son temps pour l’ouvrir.
– Oh ! Nous ne nous attendions pas à vous voir de sitôt ! s’étonna le gérant de la boutique.
– Désolé du dérangement, est-ce que Yann est chez vous ? demanda Blist
– Où voulez-vous qu’il soit d’autre ? Mais entrez, entrez ! accueilla-t-il
Blist et Meredith entrèrent dans la pièce et aperçurent le visage blessé de Yann. Meredith se dépêcha de s’approcher de lui afin de l’examiner :
– Oh mon dieu… souffla-t-elle. Mais qu’est-ce qui t’es arrivé ?
– Des grands m’ont frappé… répondit l’enfant
– Où ça ? demanda Blist curieux.
- Dans le voisinage ! répondit le vieillard.
- Et on sait qui c’est ? demanda la jeune femme
- Les voisins, répondit le petit garçon.
- Bien, il est temps de leur donner une bonne leçon ! décida Blist
- Blist, non ! contra Meredith.
- Mais enfin regardes-le ! Ne me dis pas qu’on ne f’ra rien pour lui !
- Non, on ne fera rien ! répondit Meredith d’une voix ferme
- Et pourquoi ?
- Je connais les personnages de leur genre, une leçon ne fera qu’empirer les choses ! Ils s’en prendront à Yann beaucoup plus sévèrement ET à ce moment là, tu ne seras pas là pour le protéger ! Je sais ce que je dis Blist ! J’en ai bien remarqué des enfants de son âge dans le même cas, il n’y a aucune solution ! Et s’ils ne s’en prennent plus à Yann tant mieux, mais ce n’est pas parce qu’ils ont d’autres choses à faire, c’est parce qu’ils ont trouvé un enfant beaucoup plus faible !
- Je compte lui remercier d’avance, voilà tout ! répliqua Blist
- Crois-moi, ça ne pourra pas le remercier ! insista l’infirmière
- Remercier ? demanda Yann
Meredith respira un petit coup, cligna des yeux et expliqua lentement à Yann :
- Il s’avère que nous aurions besoin de ton aide Yann ! dit-elle. Alice est prête à nous donner un coup de main sur la recherche de Samantha.
- Oui, mais je l’ai dit ça va prendre du temps, expliqua Yann. Et entre les cours et…
- Tu n’iras pas en cours cette semaine, rassura Meredith. Je ferais en sorte de te faire une excuse plus ou moins valable, ça il n’y a pas de souci à t’en faire. Surtout que cela t’éviteras de devoir croiser ces affreux, ils s’en iront par le temps. Enfin… si j’ai bien l’accord de ton père ! dit-elle en se tournant vers le vieillard qui accepta volontiers.
- Parfait ! conclut Blist.

Samantha ouvrit peu à peu les yeux sous les regards impatients des deux personnages qui l’entourait. Puis, elle usa de sa force pour se soulever de façon à pouvoir porter un regard bien en face du personnage et de la créature. Samantha fut silencieuse, c’est le mystérieux humain qui prit la parole :
- Bienvenu à toi, Armaniinae ! dit-il
- En si peu de temps vous aviez oublié mon nom? s’étonna Samantha d’une voix grave.
- Quoi? Samantha? Mais alors…?
Le personnage se tourna alors vers Myrmecosystus, et attendit une réponse.
- Moi avoir dit : moi pas savoir !!! rappela la créature.
Samantha avait un regard noir, il n’y avait aucun trait de gaieté qui pouvait se lire sur son visage. Elle regarda un instant la créature et se leva de la table afin de s’agenouiller devant la créature, tête baissée : à priori, elle sembla avoir un supérieur face à elle.
- Maître, je sens une grande force et un grand pouvoir qui ne cherche qu’à s’éveiller. Qu’attendez-vous de moi ? demanda-t-elle
- Elle, avoir rencontré frère à moi ! Sinon, moi pas comprendre ! déclara Myrmecosystus

La nuit fut tombée, Judith avait sommeil. Elle s’étira un peu avant d’aller se coucher, tout comme son père, tout comme tout le monde dans cette ville. Tout particulièrement Alice qui eut depuis, comme toutes les nuits précédentes, un sommeil agité : mais qu’y avait-il dans son rêve ?


Flash

Il était neuf heures sur l’horloge de l’entreprise, Alice était nerveusement stressée, elle n’avait toujours pas fini sa prochaine publicité de vente et voilà que son patron vient lui demander d’accélérer. Le travail ne lui manque pas, et elle a encore beaucoup de choses à terminer : la journée ne pourra pas lui suffire. Elle se prépara à pianoter le reste de ses fiches sur son ordinateur qu’elle vit un e-mail lui apparaître sur l’écran. Curieuse, elle l’ouvrit et aperçut un cœur bien rouge. L’inoubliable symbole de l’amour et de la vie, mais qui pouvait bien le lui envoyer ? Drôle de mystère. Un second e-mail lui parvient, et cette fois aussi il n’y avait pas d’expéditeur. En revanche il ne s’agissait plus d’un cœur, mais d’un fichier vidéo mettant en scène Alice elle-même en train d’embrasser un homme dont on ne voyait point le visage. Le son de sa jouissance était telle qu’on pouvait l’entendre partout dans la salle, surprise, Alice éteignit rapidement son ordinateur. Le regard de ses compagnons qui la fixait intrigué. Un peu dérangée, Alice fila alors dans son bureau personnel dans l’espoir de ne pas s’attirer d’ennuis, et vit son imprimante, son fax et son ordinateur boguer petit à petit, chacun son tour, enchaînant l’un après l’autre des documents imprimés de cœurs, des e-mails dont le contenu n’était qu’un simple symbole d’amour. Alice crut devenir folle, elle renversa son ordinateur, cassa son imprimante et tout ce qui était électronique. A la fin, Alice put enfin se calmer, pas de cœur ! Elle en a assez, et refuse catégoriquement que quelqu’un se joue d’elle et de ses sentiments. C’est alors que tout sembla calme… Très calme, voire un peu trop ! Comme si elle était toute seule dans l’étage. Curieuse, elle rouvrit la porte derrière elle : plus personne n’y était et l’horloge afficha toujours neuf heures, consciente qu’elle n’avait plus aucun moyen d’indiquer l’heure depuis son bureau vu qu’elle a tout mis hors service, elle décida de regarder du côté des fenêtres de l’étage : il faisait nuit ! Alice n’en comprit point, quelques minutes seulement s’étaient écoulées, et non pas douze heures ! Un appel fut alors déclenché : Alice entendit alors la sonnerie de son téléphone dans son bureau, mais elle savait qu’il était déjà hors-service ! Tout de même intriguée, Alice retourna vers le milieu de son bureau, là où se trouvait le téléphone, mais il arrêta de sonner. La porte de son bureau claqua violemment, prise de panique, elle se retourna afin d’identifier qui était présent : mais elle ne vit que sa porte trouée : un objet non identifié ressemblant à une lance ou à un trident était planté en plein milieu de la porte, à hauteur de son visage. Elle aperçut son collier qui pendait sur l’objet, et remarqua qu’elle ne l’avait plus sur elle : mais l’avait-elle portée ? Une question qu’elle ne pouvait y répondre. Un grondement commença à trembler tout le bâtiment : Alice se sentit seule dans cette ville, et aussi grande soit cette ville, aussi grande était la sensation du vide. Alice se dirigea vers la fenêtre de son bureau, observant les autres bâtiments aux alentours, du centre-ville : tout était noir, et pas le moindre signe de vie : les rues étaient complètement désertes, certains bâtiments à moitié détruits et aucun humain en vue. Tandis que le grondement se rapprocha de plus en plus, petit à petit elle vit une marée de choses qui se forma au loin et qui suivait une ligne droite. Un mur qui se forma et qui détruisit tout ce qui se trouva sur la ligne. Et une lumière scintillante qui se voyait au loin, qui commença à flotter dans les airs. Alice contempla le spectacle, tout ceci n’était qu’un rêve pour elle et pourtant, tout cela semblait tellement réel. Une lumière brilla alors en dessous de son visage, Alice s’aperçut qu’il s’agissait de son collier en forme de soleil. Pourtant, il y avait à peine deux minutes qu’il pendait à la porte. Alice se retourna vérifier s’il était encore présent : non, il n’y est plus. Mais la sorte de lance y était encore. Alice s’approcha doucement vers la porte et empoigna le sceptre noir, et c’est alors que le décor sembla se modifier tout autour d’elle, d’abord tout sembla flou, puis, des bâtiments détruits tout autour, le sceptre à la main, le collier toujours lumineux, Alice se trouva dans un nouveau lieu. Un disque de duel se forma à son bras, et aperçut devant elle une petite fille : Judith, portant un disque de duel elle aussi. La vieille folle était aussi présente, elle sentait la fameuse présence de la mère qui voulait tuer les bébés pas très loin.
- Le moment est venu de s’affronter grande soeur ! avertit la jeune fille
- Quoi ?
- Et dès que je te vaincrais en duel, tu devras rendre la vie à mes amis !

Fin du flash


Alice se réveilla en sursaut, et de la sueur se voyait sur son visage…


[ Dernière modification par kerberos le 11 fév 2010 à 20h49 ]


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Envoyé par Lady-fortuna le Dimanche 14 Février 2010 à 11:53


Bonjour à toi !
Ta fic's est extrêmement bien , j'adore ton style d'écriture , quand à ta présentation , j'en suis folle .
Ton histoire n'est en aucun cas similaire à une autre et tes personnages sont très charismatiques ( je pense tout de suite à Flunnis) , je te donne la note tout de suite :
Originalité : 5/5
Orthographe : 3,5/5 ( on déniche quelques fautes )
Rythme d'écriture : 4,5/5
Style d'écriture : 5/5 ( <3 )
Enfin la note générale est de ..... 17/20 !
C'est excellent !
Continue dans ta lancée !

___________________


Venez voir ma fic's :
Les chroniques des opposés

Venez continuer cette merveilleuse histoire
sarkozy a voulu embaucher chuck norris comme garde du crops, il a repondu qu'il ne gardais pas les enfants
Chuk Norris à voullu embaucher Samantha comme garde du corp , elle lui à enlever l'envie de prendre un garde du corps
Chuck Norris à pisser le vent à changer de direction

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Envoyé par kerberos le Mercredi 17 Février 2010 à 21:03


Merci Lady-Fortuna ^^ ! Désolé tout de même pour cette petite absence sur le forum, je fêtais le nouvel an chinois ! Enfin, absence en matière de posts, j'étais tout de même un peu présent ! Voilà la suite !

Chapitre V – Neuf jours passent… : Début de journée

Jeudi 8 octobre 2009


Flash


Judith se trouvait invisible dans ce que l’on peut appeler un karaoke. Ses parents étaient assis ensemble à une table.
- Voyons Chris ! Tu n’es pas sérieux ?! demanda la mère
- Ca faisait bien longtemps que je n’ai plus été sur scène depuis cinq ans ! Maintenant, jours de congés, j’ai bien le droit d’en profiter et de m’amuser un peu !
- Oui, mais je ne sais pas chanter ! insista-t-elle.
- Bon, hé bien comme tu veux ! céda Gilles. Je vais chanter pour toi ! dit-il avec un sourire amusé.
Judith vit son père parler à l’animateur du bar pendant un instant, sa mère et elle patientèrent et attendirent la fin de la chanson en cours.
- Vous pouvez applaudir comme il se doit notre chère lady : Fortuna In Haerit ! commenta le présentateur.
Le public applaudit alors la jeune demoiselle qui fit ses sincères remerciements avant de quitter la scène. Gilles était prêt à monter sur scène et l’animateur continua :
- On le surnomme CoffeeMan ! On le surnomme le Changeur de Camp ! Passé de la République démocratique allemande, à la république fédérale allemande ! Un bon homme qui n’a choisi simplement que de vivre sa vie, et de chanter !!! Je vous présente : Chris Gueffroy !!!
Gilles monta dès lors, sur la scène et prit le micro dans ses mains, l’air paniqué et impatient.
- Euh… Je… Ca fait longtemps que je n’ai pas chanté dans un karaoké, mais maintenant, je suis venu pour chanter… pour chanter, répéta-t-il, et je la dédicace à ma copine « Je t’ai vu me voir » de Les Trois Accords : (paroles modifiées afin de l’adapter à la fiction)
Je filais comme le vent,
Et l'espace d'un instant,
Tes deux yeux ont croisé ma paaiire.
Figé pour un moment,
Je voyais toutes tes dents,
Me regardant d'un air sincèèèere.
On entendit peu à peu quelques petits huements, mais Gilles continua :
- Aussi belle qu'un rayon,
Chevauchant l'horizon,
Tu es la plus belle de l'univers.
Je t'ai vu me voir,
Courir dans l'estrade,
Je t'ai vu me voir,
Tu es belle quand tu me regardes.
Je t'ai vu me voir,
Courir dans l'estrade,
Je t'ai vu me voir,
Tu es belle quand tu me regardes.
Les huements commencèrent à s’intensifier : Gilles chantait aussi bien qu’une casserole. Petit à petit, on lui balança verres et nourriture.
- Chris ! s’écria la mère en courant vers lui
Gilles ne put que sortir de scène et fut accompagné par son amie tandis que Judith la suivit de près.
- Chris, ça va ? s’inquiéta-t-elle en voyant les morceaux de verres brisés sur son jean.
- Oui, oui, ça va ! Désolé, je n’aurais pas dû, cette soirée…
- Mais non, j’ai aimé tes paroles ! dit la mère sincère. Ecoutes, ça peut arriver à tout le monde, je…
- Et si on oubliait ça pour la soirée ? proposa Gilles d’un air un peu désespéré
- Non, je ne veux pas reporter cette soirée pour un autre jour. Et si on recommençait la soirée à zéro ?
- Qu’a-t-on fait à zéro ? demanda Gilles curieux en penchant sa tête légèrement près d’elle.
Judith vit ses parents se préparer à s’embrasser et sembla entendre une alarme.

Fin du flash


Le tintement du réveil éveilla Judith petit à petit : il était sept heures du matin. Judith sortit son bras de sa couette et appuya sur le haut de son réveil pour arrêter cette cacophonie de sonnerie qui rendait sourd. Mais elle savait que c’est pour son bien à présent, aucun son plus faible n’aurait pu la réveiller, son pouvoir ne cessait que de s’accroitre et de la plonger dans ses flashs sans raison particulière, et elle ne pouvait se réveiller seule de son gré.

- Allez hop hop hop! On se dépêche, quelques étirements suffisent pour bien se réveiller Flunnis, on a beaucoup de boulot à faire ! rappela Rodges T.J. rendez-vous dans la scène A77 !
Flunnis commença à avoir des cernes, il était trop raplapla : son visage était terne et pas assez énergétique pour continuer, du moins il n’était pas encore habitué à ce rythme de travail de dingues, et d’ailleurs, il n’aurait pas le temps de prendre un petit déjeuner. Rodges se précipita vers la salle d’entraînement et vit les saltimbanques s’entrainer.
- Hey, le groupe de Monkey D. ! Faut se transformer correctement, sinon le public comme moi découvrira le secret !!! rappela-t-il

Yann pianota sur le clavier, Blist, Alice et Meredith conscients derrière lui. Alice jeta un coup d’œil sur les tourtereaux allongés sur le salon du coin de l’œil.
- Oh, il faut que j’aille me préparer pour mon travail ! s’écria Meredith
- Voilà, d’ici, je peux accéder à la FFYugicards pour retrouver Samantha ! expliqua Yann
- La quoi ? demanda Alice incompréhensible
- La Fédération Française de Yugi-cards ! Yugi-cards étant la première organisation du jeu de cartes Yugioh créée au japon.
- OK… soupira Alice. Encore quelque chose de compliqué, je n’étais même pas au courant qu’il existait des organisations de ce genre.
- Elles consistent à repérer chacun des duellistes inscrits dans leur base de données. Samantha étant réputée pour avoir été championne un grand nombre de fois, elle doit forcément être inscrite dans leur réseau informatique. Le tout sera ensuite de la repérer au moment où elle recommencera à jouer. précisa le geek. Tiens, il faut un mot de passe ! Quel est le nom du guerrier de la carte de fusion « Flame Swordsman » ?
- T’es le pro de l’informatique, tu peux pirater le mot de passe non ? demanda Alice
- Non, pas dans ce système ! Le compte à rebours est lancé, il nous reste deux minutes quarante-et-un pour trouver la clé !
- Zihark! Z-I-H-A-R-K! proposa Blist
Alice se retourna vers Blist intriguée par sa réponse.
- Euh… D’où tu sors cette information ? demanda-t-elle
- Ben ça date de l’époque où l’on pouvait jouer avec les cartes maîtresse. déclara-t-il. Un système virtuel capable de développer une intelligence artificielle de chaque carte. Je m’en suis servi de lui pour augmenter la force de mes monstres !
Yann tapa les six caractères composant le nom, le système de déverrouilla automatiquement dès que Yann appuya sur la touche « Entrée » de son clavier.
- BINGO ! s’écria le petit garçon
- Bon ben voilà, maintenant il ne reste plus qu’à la trouver ! Et ensuite, il faut que je la batte en duel, c’est ça ? demanda Alice
Blist acquiesça du regard, Alice soupira : bientôt elle pourra éviter de voir ce couple ensemble et ne plus les voir une bonne fois pour toutes.

- Bien, et en quoi est-il plus innovant ? demanda Francois
Francois se trouvait dans un magasin, et faisait face à un conseiller de paléontologie. Différents matériaux furent présentés tour à tour, et toute la bibliothèque d’instruments à laquelle les deux personnages firent face était bleue.
- Cette massette est issue de la marque TIAG Industries : une organisation qui se spécialise à la production de pièces techniques en extrusion soufflage et en injection plastique ! Leur savoir faire a permit de dépasser les Estwing, leur matériaux sont beaucoup plus simples à manier et beaucoup plus précis et sophistiqués. C’est un réel atout indispensable si vous souhaitez approfondir vos recherches ! insista le conseiller.
- Oui, mais pour 78 euros, ce n’est pas un peu trop ?
- Je vous le dis, ça en vaut la peine, croyez moi !
- Bon, très bien ! dit-il en prenant un exemplaire qu’il glissa dans son sac de courses.


[ Dernière modification par kerberos le 19 fév 2010 à 09h09 ]


kerberos

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Envoyé par kerberos le Jeudi 18 Février 2010 à 11:39


En honneur à Chris Gueffroy (personnage adapté à ma fiction) :

Cela fait 21 ans et 12 jours que Chris Gueffroy est décédé. Garçon de café (Coffeeman) qui souhaitait échapper au service militaire au sein de l'armée de la RDA, entreprend de traverser le mur suite à une rumeur qui prétend que l'ordre de tir était suspendu jusqu'à nouvel ordre.

Chris Gueffroy se risque à franchir le Mur dans la région du bâtiment du Reichstag, en compagnie de Christian Gaudian, durant la nuit du 5 au 6 février 1989. Il tombe sous les balles des troupes de frontières de la RDA, l'une l'atteignant au cœur. Christian Gaudian est gravement blessé. (Ce pourquoi leur entraide ne font qu'un)
Croix en souvenir de Chris Gueffroy dans la région du bâtiment du Reichstag. En arrière-plan, le mur déjà en partie détruit. Hiver 1989/1990.

Christian Gaudian écopa le 24 mai 1989 d'une peine de prison ferme de 3 ans, avant d'être racheté par la RFA le 17 octobre 1989 (Changeur de Camp), soit 3 semaines avant la chute du Mur.

Les quatre soldats de frontière impliqués furent récompensés par les autorités est-allemandes, chacun par une prime de 150 Marks. A la réunification, un procès fut néanmoins ouvert à Berlin par la justice de l'Allemagne. Deux soldats sont acquittés en janvier 1992, un est condamné à une peine avec sursis, alors que le principal accusé est condamné à une peine ferme de trois ans et demi (peine réduite par le Tribunal Fédéral à deux ans - avec sursis - en 1994).
Stèle commémorative

Chris Gueffroy, mort à 20 ans, par balles, moins d'une année avant la chute du Mur, est l'un des symboles de l'injustice du régime est-allemand.

Une croix en hommage à Chris Gueffroy fut posée non loin du Reichstag jusqu'à la réunification de l'Allemagne: on rappelait ainsi à l'Ouest toutes les victimes - connues - du Mur.

La tombe de Gueffroy fut vandalisée à plusieurs reprises, probablement par des communistes fâchés que Gueffroy devienne un symbole. Le 21 juin 2003, jour des 35 ans de Gueffroy, une stèle commémorative fut érigée au bord du canal de liaison du Britzer.



Un personnage qui sera très utile pour ma fiction, alias Gilles selon Judith pour couvrir sa disparition en guerre ! Actuellement dans ma fic, la guerre froide aurait continué en 2004, mais le dénouement final de l'histoire de Gilles fera en sorte que la guerre froide soit bel et bien terminée en 1992, comme prévu dans l'histoire du monde. Il n'y a donc aucun problème de fiction niveau histoire. Mon dernier chapitre souhaite également la bienvenue à l'ouverture du recrutement d'un modérateur de la section FanWorks !

[ Dernière modification par kerberos le 18 fév 2010 à 12h07 ]


kerberos

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Envoyé par kerberos le Samedi 20 Février 2010 à 11:53


Voilà un chapitre qui va mettre beaucoup de sauce pour les prochains épisodes à venir... Enjoy !

Chapitre VI – L’ennemi de son choix

Gilles se sentit soulagé qu’il ait réussi à esquiver l’attaque du Armityle : en effet, leurs deux monstres en jeu sont invincible !
– François, je ne te reconnais pas… Que t’es-t-il arrivé bon sang ? demanda Gilles
– Il ne m’est rien arrivé de surprenant, c’est toi qui n’est pas à jour.
- Hein ? Qu’est-ce que tu racontes ?
- Joues ! ordonna Francois
- Bien, puisque tu le décides ! accepta son ami. A moi !

Tour 6

Francois 5500 PV – 0 Carte / Gilles 5500 PV – 1 Carte

(Bien, je vais anéantir 5000 de ses points de vie avec l’attaque de Five-Headed Dragon, il ne lui restera que 500 points de vie, comme si j’en aurais fais une attaque directe ! Dans ce cas…)
- J’invoque le Totem Dragon !
Totem Dragon lvl 2/ Earth / Dragon / 400 ATK
- Alors comme ça tu as pioché un faible monstre ? Afin de rendre mes points de vie à 100 ? Que c’est pathétique ! se moqua Francois
– Ensuite, Five-Headed Dragon attaque Armityle the Chaos Phantom ! ordonna Gilles
- Je ne laisserais pas passer cette attaque ! L’effet de unity Strenght s’active depuis mon cimetière ! contra Francois. Puisque les monstres invoqués spécialement par son effet ont été utilisés pour une invocation fusion je peux une fois par tour annuler une attaque adverse ciblant mon monstre de fusion tant que ce piège est dans mon cimetière !
- Mais il me reste encore le Totem Dragon : attaque !
Francois 5100 PV – 0 Carte / Gilles 5500 PV – 0 Carte
- Enfin, j’active mon piège continu : Flames of the Dragon ! enchaîna Gilles
Flames of the Dragon
- Une fois par tour, durant ma End Phase tu perds 50 points de dommages pour chaque monstre de type Dragon que je contrôle multiplié par le nombre total de niveaux cumulés de tous les monstres en jeu ! expliqua-t-il. Le total des niveaux en jeu se cumule à 26, et je contrôle deux monstres, par conséquent, le total de dommages que tu subiras s’élève à : 2600 points de dommages !
Francois 2500 PV – 0 Carte / Gilles 5500 PV – 0 Carte
(S’il détruit mon Totem Dragon, le total de dommages qu’il subira au prochain tour s’élèvera à 1200 points, mais si je pioche un monstre, je suis sûr de lui infliger au minimum 2500 points de dommages ! songea Gilles)
- Je finis mon tour !

Meredith trouva Flunnis dans les coulisses du cirque, et s’approcha de lui :
- Flunnis ! appela-t-elle
- Meredith ? s’étonna Flunnis. Que fais-tu ici ?
- Ecoutes, je suis désolée, mais nous avons vraiment besoin de ton aide, alors…
- Flunnis est occupé à répéter ! intervint le petit Rodges T.J.
La jeune femme tourna son regard vers le garçon se demandant qui il est.
- Bonjour, je suis tenu de gérer ce cirque, Rodges Taylor Junior ! se présenta-t-il, puis se tournant vers Flunnis : Je perçois qu’une de tes amies est entrée par effraction !
- D’accord ! comprit-elle. Je suis désolée d’être entrée ici, mais il est question d’urgence, il faut qu’il rentre !
- Vous êtes sa sœur ? demanda Rodges.
- Oui ! mentit-elle
- Non ! C’est une amie ! dit Flunnis en même temps.
- S’il vous plaît ! C’est le dernier jour de notre tournée, alors laissez-le finir et ce soir vous pourrez l’emmener ! expliqua Rodges. En attendant, si vous voulez bien prendre la peine de venir me suivre, je peux vous trouver de l’assistance durant la journée !
Meredith soupira : un jour uniquement ! Elle regarda le regard de Flunnis, brillant, et le visage du garçon signifiant qu’il s’était longuement préparé ce jour-ci : doit-elle lui gâcher la journée ? Elle accepta alors la demande de Rodges et le suivit.
(Bien, et une troisième de moins… songea Rodges.)

Erwin et Alice continuèrent quant à eux leur duel sur la petite table.

Tour 3

Alice 8000 PV – 4 Cartes / Erwin 8000 PV – 4 Cartes

– J’active mon piège : Limit Reverse ! déclara Erwin. Cela me permet d’invoquer spécialement un monstre d’une attaque de 1000 points ou moins depuis mon cimetière en position d’attaque !
Limit Reverse
Lumina, Lightsworn Summoner lvl 3 / Light / Spellcaster / 1000 ATK
– Ensuite, enchaîna-t-il, l’effet de Lumina, Lightsworn Summoner : en me défaussant d’une carte je peux invoquer spécialement un Lightsworn de mon cimetière de niveau 4 ou moins.
Shire, Lightsworn Spirit (défaussé)
Jain, Lightsworn Paladin lvl 4 / Light / Warrior / 1800 ATK
– Et j’invoque depuis ma main : Aurkus, Lightsworn Druid ! conclut Erwin
Aurkus, Lightsworn Druid lvl 3 / Light / beast-Warrior / 1200 ATK
- Wulf, Lightsworn Beast attaque directe ! ordonna-t-il
Alice 5900 PV – 4 Cartes / Erwin 8000 PV – 2 Cartes
- Jain, Lightsworn Paladin : attaque !
Alice 4100 PV – 4 Cartes / Erwin 8000 PV – 2 Cartes
- Ehren, Lightsworn Monk : attaque !
Alice 2500 PV – 4 Cartes / Erwin 8000 PV – 2 Cartes
- Aurkus est le suivant à prendre l’assaut !
Alice 1300 PV – 4 Cartes / Erwin 8000 PV – 2 Cartes
- Et enfin Lumina attaque directement ! finit Erwin.
Alice 300 PV – 4 Cartes / Erwin 8000 PV – 2 Cartes
- Voilà ce qui se passe quand on ne sait pas jouer ! conclut-il.
- Pas exactement ! rectifia la jeune Alice. J’active l’effet de Dangerous Pride of Senses se trouvant dans mon cimetière : lorsque je reçois plus de 7500 points de dommages entre deux de mes tours, je peux le retirer du jeu afin de regagner 7000 points de vie !
Dangerous Pride of Senses => RDP
Alice 7300 PV – 4 Cartes / Erwin 8000 PV – 2 Cartes
-Puis, me permet d’invoquer spécialement autant de monstres ayant inclus « Sense » dans son nom de carte que je souhaite de ma main pour le cout de 1000 points de vie chacune !
The Six Sense – The View lvl 5 / Light / Ghost / 1900 ATK
The Six Sense – The Voice lvl 3 / Fire / Ghost / 1100 => 1900 ATK
The Six Sense – The Hear lvl 2 / Water / Ghost / 600 ATK
The Six Sense – The Smell lvl 1 / Wind / Ghost / 800 ATK

Alice 3300 PV – 0 Carte / Erwin 8000 PV – 2 Cartes

- Je finis mon tour ! conclut Erwin de nouveau. Finalement tu n’es peut-être pas si nulle que ça, mais l’effet de mes Lightsworn me font meuler 10 cartes !
Jenis, Lightsworn Mender (meulé)
Lightsworn Barrier (meulé)
Rinyan, Lightsworn Rogue (meulé)
Solar Recharge (meulé)
Gragonith, Lightsworn Dragon (meulé)
Ryko, Lightsworn Hunter (meulé)
Solemn Judgment (meulé)
Garoth, Lightsworn Warrior (meulé)
Charge of the Light brigade (meulé)
Lyla, Lightsworn Sorceress (meulé)


Tour 4

Alice 3300 PV – 1 Carte / Erwin 8000 PV – 2 Cartes

- Bien ! Alors, l’effet de The Smell : puisque je contrôle un monstre Fire, je peux piocher une carte supplémentaire !
Alice 3300 PV – 2 Cartes / Erwin 8000 PV – 2 Cartes
- L’effet de The Hear : puisque je contrôle un monstre Light je peux transférer toute sa force d’attaque à un autre monstre que je contrôle jusqu’au prochain tour !
The Six Sense – The Hear lvl 2 / Water / Ghost / 600 => 0 ATK
The Six Sense – The Smell lvl 1 / Wind / Ghost / 800 => 1400 ATK

- Ensuite, The Six Sense – The View : attaque Jain, Lightsworn Druid ! ordonna-t-elle
- J’active mon piège, contra Erwin : Mirror Force !
Mirror Force
- Cela détruit automatiquement tous les monstres en position d’attaque de l’adversaire !
- L’effet de The Six Sence – The View s’active : tant que je contrôle un monstre Water en jeu, tous les pièges adverses ne peuvent pas être activés !
Mirror Force (re-set)
Jain, Lightsworn Druid (détruit)

Alice 3300 PV – 2 Cartes / Erwin 7900 PV – 2 Cartes
- Ensuite, The Six Sence – The Voice, attaque Lumina, Lightsworn Summoner! enchaîna-t-elle
Lumina, Lightsworn Summoner (détruit)
Limit Reverse (détruit)

Alice 3300 PV – 2 Cartes / Erwin 7000 PV – 2 Cartes
- Puis, The Smell attaque Aurkus !
Aurkus, Lightsworn Druid (détruit)
Alice 3300 PV – 2 Cartes / Erwin 6800 PV – 2 Cartes
- Je finis mon tour ! finit-elle

Tour 5

Alice 3300 PV – 2 Cartes / Erwin 6800 PV – 3 Cartes

- Bien, démarra Erwin. Je vais sacrifier Ehren, Lightsworn Monk!
Ehren, Lightsworn Monk (cimetière)
- Afin d’invoquer Celestia, Lightsworn Angel de ma main!
Celestia, Lightsworn Angel lvl 5 / Light / Fairy / 2300 ATK
- L’effet de The Six Sence – The Hear s’active : puisque je contrôle un monstre Fire, je peux une fois par tour, payer 1000 points de vie afin d’annuler l’invocation d’une carte et la détruire! contra Alice.
- Quoi ?
Alice 2300 PV – 2 Cartes / Erwin 6800 PV – 2 Cartes
Celestia, Lightsworn Angel (détruit)
- C’est pas grave, puisque j’ai au moins quatre monstres Lightsworns de noms différents de mon cimetière, je peux invoquer spécialement le Judgment Dragon de ma main !
Judgment Dragon lvl 8 / Light / Dragon / 3000 ATK
- Et puisque l’effet de The Hear ne s’active qu’une fois par tour, je peux l’invoquer sans problèmes ! Et grâce à lui, je peux payer 1000 points de vie, et ainsi détruire toutes les autres cartes sur le terrain ! Ton terrain se retrouvera sans défenses, une attaque directe et tout est fini !
Alice 2300 PV – 2 Cartes / Erwin 5800 PV – 1 Carte
- L’effet de The Six Sense – The View s’active! Puisque je contrôle un monstre Wind en jeu, je peux une fois par tour annuler l’activation de l’effet d’une carte et la détruire en payant 1000 points de vie !
- Encore ? s’étonna Erwin
Alice 1300 PV – 2 Cartes / Erwin 5800 PV – 1 Carte
Judgment Dragon (détruit)
(Mais maintenant, elle n’a plus que 1300 points de vie ! Et son monstre The Six Sense – The Hear n’a que 0 points d’attaque ! L’attaque de Wulf, Lightsworn Beast suffira pour lui retirer tout le reste de ses points de vie ! songea-t-il)
- Wulf, Lightsworn Beast attaque The Six Sense – The Hear !
- Ne penses pas que tu vas réussir à m’avoir ! commenta Alice. L’effet de The Six Sense – The View s’active! Puisque je contrôle un monstre Fire en jeu, une fois par tour, en payant 1000 points de vie, je peux annuler une attaque adverse !
Alice 300 PV – 2 Cartes / Erwin 5800 PV – 1 Carte
- C’est pas vrai !!! se lamenta le charmant jeune homme.
(Mais elle fait une erreur, elle n’a plus assez de points de vie pour activer l’effet d’un de ses quelconques monstres !)
- Je finis mon tour !

Les trois personnages retournèrent dans le fameux manoir. Ici, attendirent Blist, Yann et le violeur.
- Vous voilà enfin ! soupira Samantha. Où étiez-vous ?
- Affaires personnelles, ça ne te regardes pas ! répondit le jeune enfant
- Je voulais m’assurer que vous n’avez rien oublié ! expliqua Blist à son tour.
- Moment venu ! avertit la créature. Ce soir, chacun sur pointe !
- Oui, ce soir il vous faudra mener, et désigner qui sera votre adversaire en guise de sacrifice pour la grande créature, expliqua le personnage.
- Moi, c’est déjà choisi. Pour cette raison que je me suis joint à vous ! expliqua le violeur. Il s’agira de la petite fillette !
- Moi il faut que je parle à quelqu’un qui n’a pas voulu sauver mon père, et qui ne voulait même pas régler mes problèmes avec ces abrutis de voisins ! choisit Yann.
- Seul problème, l’adversaire de Yann est sur le point d’être anéantie avant par le meneur de cirque, expliqua Blist. Et Francois est en train d’attaquer mon rival !
- Il n’y a pas de temps à perdre, il faut les arrêter tous les deux ! continua Yann
- Ne t’en fais pas pour le petit Rodges ! rassura Samantha. Il est très bien comme ça, il va seulement mettre un peu de piquant à la soirée ! Histoire d’échauffer un peu le petit garçon avant que je ne l’affronte !
- Bon, j’estime que chacun a désigné sa proie ! conclut le personnage. Assurez-vous que tout soit en ordre, à la fin nous irons nous regrouper au cœur, c’est là que la grande créature se réveillera !
Tous acquiescèrent, et surtout Myrmecosystus qui sembla très agité…


A présent voici un spoiler de ma nouvelle future fiction qui sortira l'année scolaire prochaine à la fin de cette fiction ou de l'autre :

Extrait scène entière de l'épisode 01#Pilote

Scène 2/17

Durant la même nuit, une femme rentrait chez elle. Elle appuya sur l'interrupteur, mettant de la lumière dans la salle. La jeune femme enleva sa veste et l’accrocha au porte-manteau, avant de passer dans la cuisine afin de se cuire un gratin dauphinois, la télévision allumée où débutèrent les informations du journal télévisé : " Bonsoir à tous ! Bienvenue, voici les titres de votre journal : Prescillia : Un homme de vingt-et-un ans, placé jeudi en garde à vue, a reconnu vendredi être l'auteur du meurtre de Prescillia. Le corps sans vie de l'adolescente avait été retrouvé dimanche à Montsoreau dans une pièce d'un vieux moulin connu pour être un point de rendez-vous où..."
Le téléphone sonna, alors que la cuisson n'était pas finie. Elle le prit tout de même sur le côté à l'aide de sa main gauche.
- Allô ? [...] Ah, oui Billie, j'avais bien voulu que vous me rappeliez afin de savoir si les tests de mon nouveau prototype étaient sans dangers sur le mannequin. Mais avec la soirée que j'avais eue, j'avais complètement oublié de... [...] Non, vraiment ?! Oh, c'est génial ! Préparez tout le nécessaire, je veux que ce prototype soit présenté dès demain. [...] Merci Billie.
Eteignant le téléphone, elle vit que son repas allait être carbonisé : elle se dépêcha d'éteindre le feu avant de sortir le plat, qu'elle fit tomber maladroitement.
- Aïe ! cria-t-elle.
"... qui a notamment revendiqué les attaques de juin et juillet dans la péninsule qui avaient coûté la vie à sept soldats camerounais et un sous-préfet. Les rebelles ont attaqué dans la nuit de jeudi à vendredi, vers minuit, le bateau de service qui relie les plate-formes pétrolières du secteur où opère Total." La poêle fut tombée au coin de la table, elle se coucha pour la ramasser ; au même moment, elle se coupa un peu la main gauche contre le coin du haut de la table. Quand elle le remarqua, elle prit juste le temps de se procurer un sparadrap après avoir désinfecté sa plaie.

Plus tard, durant la même soirée, elle alla s'endormir en n'oubliant pas de tout éteindre. Il est environ onze heures du soir. Mais au bord de la table, à l'endroit exact où elle s'était coupée, une fine goutte de sang y était restée, et sembla briller dans la pièce sombre...


[ Dernière modification par kerberos le 20 fév 2010 à 12h49 ]


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Envoyé par kerberos le Lundi 22 Février 2010 à 21:22


Up pour avertir de la modification du rythme d'écriture de l'histoire !
Il y aura donc à la place un épisode rédigé entièrement chaque semaine, tous les samedis soirs à 20h50 !
William quant à lui verra un épisode en intégralité tous les samedis soirs à 21h40 => 50 minutes après Flunnis ! => Celui-ci à partir de la semaine prochaine.

Et non, ce n'est pas la trilogie du samedi (sinon il resterait encore une série à présenter, et c'aurait été Flyenn, mais non ^^ limite deux fictions)

Il se pourrait éventuellement qu'il n'y ait pas de l'un ou de l'autre à ce moment précis : détendez-vous, ce ne sera qu'en cas d'exception (fêtes/anniversaires/sorties, entre autres)

Hé oui, je tiens à poster cela les samedis à ces horaires, tout comme les séries TV que l'on regarde à la télévision les samedis soirs et qui sont pour la plupart toujours attrayants ! J'espère donc qu'il y aura assez d'audiences fidèles à cette et/ou l'autre fiction !

En attendant : bonne soirée !


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Envoyé par Lady-fortuna le Mardi 23 Février 2010 à 14:25


Au pire le mercredi soir et le samedi soir , je t'en prie !!
Juste fini le duel entre Alice et Erwin , et quel est le 6éme sens ??

___________________


Venez voir ma fic's :
Les chroniques des opposés

Venez continuer cette merveilleuse histoire
sarkozy a voulu embaucher chuck norris comme garde du crops, il a repondu qu'il ne gardais pas les enfants
Chuk Norris à voullu embaucher Samantha comme garde du corp , elle lui à enlever l'envie de prendre un garde du corps
Chuck Norris à pisser le vent à changer de direction

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Envoyé par Hleyy le Mercredi 24 Février 2010 à 18:19


Bien le bonjour !
Ta fic's est très agréable à lire mais il reste quelques petites fautes d'orthographe ;
Fraçois sera t-il le dernier du gang des insectes , sa m'en a bien l'air !
Je me demande comment fait-tu pour trouver des nom aussi compliqué " mymercosinus " , quel nom bizarre :s .
Je trouve que utiliser le BBcode est une très bonne idée et je trouve que beaucoup de membre devrait l'utiliser car il facilite la lecture et rend le texte plus "flash" .
A pars ça ce qui me choque , c'est ton rythme d'écriture , même moi qui ai 17 ans arrive à avoir un rythme d'écriture régulier !

[ Dernière modification par Hleyy le 24 fév 2010 à 19h54 ]

___________________


kerberos

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Envoyé par kerberos le Samedi 27 Février 2010 à 20:57


Flunnis 41# Evolution partie2

Jeudi 8 octobre 2009 (suite)

A l’écart des autres enfants, Judith lisait un livre sous le préau intitulé : Rise of the Betrayed Wings. Réfugiée dans son coin, Judith ne savait que faire pour s’occuper lors des récréations : les autres jouaient entre eux inlassablement sur des petits jeux, tels : la marelle, les courses et cætera ! Non pas que Judith ne souhaitait aucune nouvelle amitié, mais qu’elle savait que les autres l’évitaient. En effet, depuis son adoption par les Nevers, et depuis qu’on lui a trouvé un système scolaire, elle savait parfaitement que tout le monde la jetait dans le sac des Nevers, reconnus non pas que pour leur terrible force de jeu dans le monde du jeu de cartes Yugioh, mais également pour être indifférents, ignares, infâmes : tout ce qui était déplaisant, et qui ne permettait pas la socialisation au sein de la population. Néanmoins, elle sait qu’elle a à présent deux bons amis : Flunnis, qui installé l’an passé, lui demandait souvent ce qu’elle faisait seule dans son coin ou tout simplement pour l’inviter à tous les amusements. Et Yann, qui lui était récemment bien proche. Tous les deux s’étant absentés depuis une semaine, Flunnis pour des raisons bien propres qu’elle connaît déjà, et qu’elle comprend, car elle-même vient de retrouver son père. Et Yann dont elle ignore encore la raison, toujours est-il qu’elle vaque à ses anciennes occupations : la lecture. Cependant, il n’y avait pas que ces deux enfants qui lui manquent, en effet, celle qui lui manque le plus n’est autre que Cosmo Queen !
- Hey Judith ! appela une voix de petit garçon
Judith se souvint de la nuit où elle reconnut sa faute pour avoir involontairement mit son père en danger et d’avoir forcé Cosmo Queen à se sacrifier pour la protéger. Depuis ces derniers temps, Judith a fait de nombreuses transitions vers le passé. D’une part, la fameuse nuit, où elle a tenté de sauver son passé, elle ignore encore pourquoi elle ne se souvient pas d’avoir vu sa mère entrer dans sa chambre pour la tuer. De l’autre, la rencontre de ses parents, et l’amour naissant dans leur couple : pourquoi diable en sont-ils arrivés là ?
- Hého ! Judith ! signala de nouveau la voix toute proche d’elle
Encore une fois, tant de questions lui traversèrent l’esprit, et à ce stade : il ne semble pas possible pour elle de pouvoir lire ! Cependant, il reste encore un détail qu’elle ignore encore : depuis les rencontres amoureuses de ses parents, jusque là, alors qu’elle n’était pas encore née, sa mère et son père ne connaissaient point le jeu de cartes japonais qui aurait par la suite, été le jeu de divinité de sa mère avec les Demoiselles de Fortune, et le jeu de dragons qu’aurait eu son père. En effet, elle s’était toujours imaginée que dès que le jeu aurait sorti, ils auraient tous deux adoptés le jeu, et d’ailleurs elle se demande bien même comment ont-ils eus et développés leurs pouvoirs sans cartes… Pas le temps de réfléchir, car une main lui passa devant les yeux de haut en bas, de sorte à ce qu’elle revienne consciente à la réalité :
- Youhou ! Judith !!! lui rappela cette voix qui lui sembla si familière
Judith cligna des paupières plusieurs fois, avant de relever la tête vers ce mystérieux camarade : qui donc se serait intéressée à elle. Elle remarqua alors le visage de Yann, qui s’attendait à ce qu’elle revienne les pieds sur terre.
- Yann ! reconnut-elle
- Hé oui ! C’est moi ! Je suis de retour !!! sourit-il
- Tu étais où ? demanda-t-elle en songeant que Yann pouvait également voyager comme Flunnis.
- Je suis resté chez moi, j’ai aidé les Nevers à retrouver Samantha, du moins en ce qu’il convient de l’échange car Meredith était terrorisée de me voir avec un œil au beurre noir, alors elle m’a donné une semaine sans aller à l’école ! expliqua-t-il D’ailleurs, j’ai réussi à entrer dans le système de FFYugicards, et il ne reste qu’à ce que Samantha joue pour que le localisateur fasse un signal sur mon ordinateur. Donc je n’ai plus besoin de rester devant l’écran !
Yann s’étira bras et hanches : il semblerait qu’il a perdu l’habitude de rester debout sur place plutôt que de continuer à rester sur sa chaise devant l’écran.
- On t’a frappé ? s’écria Judith
- Ouais, nan mais c’est juste les adultes du quartier lorsque je rentre de l’école vers les seize heures.
Yann se rendit compte que Judith ne semblait pas être au courant :
- Pourquoi ? Meredith ne t’a rien dit ? demanda-t-il
- Non ! répondit Judith. D’ailleurs, on ne s’est pas vues !
- Et alors ? Ton Earthbound Immortal Aslla Piscu ? demanda Yann. Tu l’as réintégré dans ton deck je suppose !
- Euh… Oui, répondit-elle. Je n’avais que trente-neuf cartes.
- Ah, punaise, j’m’en souviens encore de cette fameuse journée où tu l’as invoquée ! rêva-t-il. Faut dire que tu m’avais bien impressionné, et surtout parce que tout le monde a fini par paniquer !
- Tu es conscient qu’il ne faut pas l’invoquer, excepté en cas d’extrême urgence ! Meredith nous l’a confiée, mais c’est pour le rendre à Samantha à la fin quand on l’aura retrouvée.
- Mais, ce n’était pas ta carte au début ? demanda Yann
- Si, je l’avais reçue d’un bon vieillard parce que je l’ai aidé. Mais ils disent que je n’ai pas un assez bon jeu pour pouvoir l’utiliser intelligemment !
- Je te signale que tu as été vainqueur au tournoi de Speed Junior, et que tu étais bien classée dans le tournoi de rentrée. D’ailleurs, bientôt un nouveau tournoi verra le jour ! J’ai hâte d’y participer !
- Oui, mais Samantha a toujours collectionné les Earthbounds Immortal. Mais bon ce n’est pas bien grave… Au moins je le retrouve !
La sonnerie retentit : tous les élèves allèrent en cours, et cette fois, Yann se mit sur la même table de Judith : elle a enfin un voisin de table !



De nombreux gardes commencèrent alors à se déployer et à parcourir l'enceinte du royaume.

C'est à ce moment là que Flunnis aperçut quelque chose :
- Tiens ? Qu'est-ce que c'est ?
[...]
Flunnis retrouva ses proches :
- C'est génial ! Je ne vous savais pas là !
[...]
Flunnis vit que Judith avait les yeux rouges :
- Qu'est-ce que tu as ? On dirait que tu as pleuré ! remarqua-t-il

Judith ouvrit les yeux, elle se retrouvait dans une chambre remplie de portes, au milieu de nulle part.
- Où suis-je ?
[...]
Judith acquiesça le regard encore sous le choc, et fascinée par cette femme à la longue chevelure dorée qui lui avait sauvée des griffes de la créature il y avait quelques instants.

Alice ouvrit son frigo, et figea son regard dans le vide en remarquant enfin consciemment qu'il y avait un problème chez elle.

- Ce que l'on appelle une simple coïncidence, répondit Samantha. La chance n'a rien à voir avec tout ça. Donnes-le moi !
[...]
- Mais je ne suis pas schizophrène !!! croissa-t-elle devant ses amis

- Alors ? Cette nouvelle ? Vous avez pu la retrouver ? s'inquiéta-t-elle
[...]
- Tu la connais ? demanda-t-elle sur son lit d'hôpital

- Mais comment vous le saviez ? s'étonna Yann. J'ai passé deux heures de recherches !!
[...]
Une lignée d'insectes commencèrent à créer une gigantesque muraille.



- Brownimeciinae, attaque !! ordonna Myrmecosystus
Samantha reçut alors la violente secousse sismique d’insectes peu virtuels.
Samantha 0 PV
- Allez, encore des efforts, tu peux y arriver ! encouragea le personnage. Allez, on reprend l’entraînement, nouvelle partie !
Les deux duellistes reprirent leurs cartes du cimetière, de leur main et de leur deck et le remélangèrent.
- DUEL ! dirent-ils
Samantha 2000 PV – 5 Cartes / Myrmecosystus 2000 PV – 5 Cartes
- J’engage ! démarra Samantha tout en piochant une carte de son deck.

Tour 1

Samantha 2000 PV – 6 Cartes / Myrmecosystus 2000 PV – 5 Cartes

Samantha visionna sa main : Armaniinae était déjà, et comme toujours, dans sa main en début de partie !
- Je commence par jouer la carte : Summon Cloud ! engagea-t-elle
Summon Cloud
- Cette carte magique me permet d’invoquer spécialement, une fois par tour, lorsque je n’ai aucun monstre, un monstre « Cloudian » de ma main ou de mon cimetière ayant un niveau inférieur ou égal à 4 ! Je fais appel à ce monstre : Cloudian – Cirrostratus !
Cloudian – Cirrostratus lvl 4 / Water / Fairy / 900 ATK
- Puisque adversaire avoir fait invocation spéciale, moi pouvoir défausser et invoquer Dragon Ice ! commenta la créature
Dandylion (défaussé)
Dragon Ice lvl 5 / Water / Dragon / 1800 ATK
- Dandylion envoyé au cimetière : deux tokens invoqués ! expliqua l’insecte.
Fluff Token lvl 1 / Wind / Plant / 0 DEF
Fluff Token lvl 1 / Wind / Plant / 0 DEF

- J’invoque ensuite Cloudian – Cirrostratus ! continua Samantha
Cloudian – Cirrostratus lvl 4 / Water / Fairy / 900 ATK
- L’effet de Cloudian – Cirrostratus : lorsqu’il est invoqué normalement, je peux placer autant de Counters Fogs que j’ai de Cloudian en jeu lors de son invocation !
Dragon Ice lvl 5 / 2 Counters Fogs / Water / Dragon / 1800 ATK
- Puisque j’ai invoqué deux Cloudian avec le même nom ce tour-ci, je peux activer cette carte : Lucky Cloud, qui me permettra de piocher deux cartes durant la End Phase !
Lucky Cloud
- Je pose ensuite deux cartes et fini mon tour ! Durant la End Phase, Lucky Cloud me permet de piocher deux nouvelles cartes !
Samantha tira alors deux cartes, et remarqua le Montage Dragon lui venir en main.
Samantha 2000 PV – 3 Cartes / Myrmecosystus 2000 PV – 3 Cartes
La créature piocha alors la carte qui signifiait son début de tour.

Tour 2

Samantha 2000 PV – 3 Cartes / Myrmecosystus 2000 PV – 4 Cartes

- Moi invoquer spécialement sur terrain adverse : Grinder Golem ! engagea Myrmecosystus
Grinder Golem lvl 8 / Fiend / Dark / 300 DEF
- Effet Grinder Golem : invoque spéciale : 2 Grinder Token !
Grinder Token lvl 1 / Fiend / Dark / 0 ATK
Grinder Token lvl 1 / Fiend / Dark / 0 ATK

- Puis, moi retirer 4 Tokens, et invoque Brownimeciinae !
Fluff Token (RDP)
Fluff Token (RDP)
Grinder Token (RDP)
Grinder Token (RDP)

Brownimeciinae lvl ? => 4 / 4 vies / Insect / Dark / ? => 1600 ATK
(Déjà…. Si Dragon Ice et Brownimeciinae portent chacun une attaque sur chacun de mes deux Cloudians, je perdrais 1600 points de vie ! De plus, Brownimeciinae gagnerait en puissance, pour avoir 2000 points d’attaque.)
- J’active ma carte de magie quick-play ! Fog Control ! chaîna Samantha
Fog Control
- En sacrifiant un monstre Cloudian que je contrôle, je peux placer 3 Counters Fogs sur un monstre face visible en jeu !
Cloudian – Cirrostratus (détruit)
Dragon Ice lvl 5 / 2 => 5 Counters Fogs / Water / Dragon / 1800 ATK

- Dragon Ice attaque Grinder Golem ! ordonna la créature.
Grinder Golem (détruit)
- Brownimeciinae attaque Cloudian !
Cloudian – Cirrostratus (détruit)
Samantha 1300 PV – 3 Cartes / Myrmecosystus 2000 PV – 2 Cartes
Brownimeciinae lvl 4 / 4 vies / Insect / Dark / 1600 => 2000 ATK

- J’active mon piège : Cloud of the Storm ! réagit-elle
Cloud of the Storm
- Lorsqu’un monstre Cloudian que je contrôle a été détruit en combat et envoyé au cimetière, je peux détruire un monstre en jeu et qui n’est pas le monstre ayant attaqué ! S’il possède des Counters Fogs sur lui, je peux invoquer autant de Cloudian Token qu’il y avait de Counters sur sa carte ! Je détruis Dragon Ice ! Et puisqu’il avait 5 Counters Fogs, je peux invoquer 5 Cloudians Tokens ! expliqua-t-elle
Dragon ice (détruit)
Cloudian Token lvl 1 / Water / Fairy / 0 DEF
Cloudian Token lvl 1 / Water / Fairy / 0 DEF
Cloudian Token lvl 1 / Water / Fairy / 0 DEF
Cloudian Token lvl 1 / Water / Fairy / 0 DEF
Cloudian Token lvl 1 / Water / Fairy / 0 DEF

- Moi poser deux cartes et terminer tour !

Tour 3

- C’est à moi de jouer ! reprit Samantha
Samantha 1300 PV – 4 Cartes / Myrmecosystus 2000 PV – 0 Carte
- Je retire les 5 tokens en jeu ! Et j’invoque Armaniinae !
Cloudian Token (RDP)
Cloudian Token (RDP)
Cloudian Token (RDP)
Cloudian Token (RDP)
Cloudian Token (RDP)

Armaniinae lvl ? => 5 / 5 vies / Insect / Dark / ? => 2500 ATK
- Moi activer : Exil Locus !
Exil Locus
- Puisque moi contrôler monstre famille des 5 insectes. Moi payer 100 points de vie par niveau de mon monstre, et toi gagner montant payé. Et toi, pas pouvoir activer effet de Armaniinae, mais Armaniinae gagne 1000 points d’attaque jusqu’à End Phase !
Samantha 1700 PV – 3 Cartes / Myrmecosystus 1600 PV – 0 Carte
Armaniinae lvl 5 / 5 vies / Insect / Dark / 2500 => 3500 ATK

(Il veut éviter l’effet de Armaniinae numéro 4 qui consistait à pouvoir attaquer autant de fois tant qu’il y a un monstre face recto sur le terrain adverse mais Armaniinae sera plus puissant que son monstre.)
- Armaniinae, attaque Brownimeciinae !
Brownimeciinae lvl 4 / 4 => 3 vies / Insect / Dark / 2000 ATK
Samantha 1700 PV – 3 Cartes / Myrmecosystus 100 PV – 0 Carte

(L’effet des deux monstres est réciproque… songea le personnage qui regardait le duel. Ils augmentent leurs forces en décroissant celui de l’adversaire)
Armaniinae lvl 5 / 5 vies / Insect / Dark / 3500 => 4000 => 3600 ATK
Brownimeciinae lvl 4 / 3 vies / Insect / Dark / 2000 => 1500 => 1900 ATK

- Je finis mon tour ! finit-elle
(Bien, au prochain tour, si je pioche un monstre, je peux invoquer spécialement le Montage Dragon se trouvant dans ma main, et je peux alors réduire à coup sûr ses 100 derniers points de vie et arrêter cet entraînement de malheur, car je suis la plus forte et que je ne me permettrais pas encore une autre défaite)
Armaniinae lvl 5 / 5 vies / Insect / Dark / 3600 => 2600 ATK

Tour 4

Samantha 1700 PV – 3 Cartes / Myrmecosystus 100 PV – 1 Carte

- Moi invoquer Blockman!
Blockman lvl 4 / Earth / Rock / 1000 ATK
- Puis, active piège : Nightmare Archfiends !
Nightmare Archfiend
- Moi sacrifier monstre, puis invocation spéciale adversaire : 3 Nightmare Archfiend Token !
Blockman (détruit)
Nightmare Archfiend Token lvl 6 / Dark / Fiend / 2000 ATK
Nightmare Archfiend Token lvl 6 / Dark / Fiend / 2000 ATK
Nightmare Archfiend Token lvl 6 / Dark / Fiend / 2000 ATK

- Effet Brownimeciinae : détruit tokens terrain adversaire ou mien ! Puis gagne attaque égale attaque totale tokens détruits ! Vie diminue chaque token détruit ! Et lorsque Nightmare Archfiend Token détruit : adversaire perd 800 points de vie.
Nightmare Archfiend Token (détruit)
Nightmare Archfiend Token (détruit)

Brownimeciinae lvl 4 / 3 => 1 vie / Insect / Dark / 1900 => 5900 ATK
Samantha 100 PV – 3 Cartes / Myrmecosystus 100 PV – 0 Carte

- Brownimeciinae attaque !
Nightmare Archfiend Token (détruit)
Samantha 0 PV – 3 Cartes / Myrmecosystus 100 PV – 0 Carte
- Allez, une nouvelle partie ! ordonna le personnage.


Alice se trouva seule dans la salle informatique de Yann, et lisait tranquillement un magazine féminin. De temps en temps, elle jeta un coup d’œil sur l’écran d’ordinateur : toujours aucun signal provenant du disque de duel et des cartes favorites de Samantha, en particulier le Montage Dragon. Une fois encore, Alice se leva de la chaise à roulettes, et alla regarder dans la pièce d’à côté ce que faisait le vieillard dans sa boutique. Il était onze heures et demie du matin, pas le temps pour lui d’abandonner son travail ni d’en faire une pause malgré son vieil âge. Quelques fois, un ou deux enfants vinrent entrer dans la boutique acheter une figurine ou quelques cartes, et le vieillard fit un sourire de bienveillance envers les enfants. Le reste du temps, il se chargeait de ranger les boîtes, de dépoussiérer certains endroits, de regarder attentivement son cahier de bord ainsi que ses recettes. Voire même de transporter tout seul les cartons pleins de paquets de boosters de cartes et de jouets. En gros : il était toujours occupé ! Tout comme l’entreprise où travaille Alice et où elle avait sans cesse toujours une tâche à réaliser et à mener à bien. A quelques moments de la journée, Alice tenta d’aider le vieillard, mais ce dernier refusa toujours poliment les aides d’Alice. Alice trouva à quel point cet homme était bon, et se demanda pourquoi les jeunes hommes de son âge n’avaient pas le même caractère que ce personnage qu’elle voit devant elle.
(Pourquoi faut-il que ça fonctionne toujours comme ça ? se demanda-t-elle. C’est vraiment stupide !! Si seulement les rôles pouvaient s’inverser…)
En effet, Alice a toujours eu de mauvaises relations avec les hommes, que ce soit de la vingtaine ou de la trentaine. Récemment elle croyait que Blist pouvait faire partie de l’exception, mais elle se rendit compte au final qu’il était comme les autres. Car il était avec Meredith, et le restera, il n’y avait aucun doute à ce sujet ! Tout à l’heure, il est parti lui aussi hors de la maison de Yann, peu après le départ de Meredith vers l’école primaire. Elle s’imagina toutes sortes de scènes pouvant se réaliser dans ce couple, et s’acharna sur son sort.
(OOOhhhhh….. Pourquoi est-ce que je dois penser à lui ? répéta-t-elle)
Alice soucieuse, ne voulut point que le vieillard la regarde frustrée, et pour la énième fois de la journée, quitta la salle de la boutique où travaillait le vieillard et retourna à son poste de surveillance au cas où Samantha serait localisée. Néanmoins, il n’y avait pas que ce détail de couple qui l’acharnait tant, c’était de ce baiser, ce moment qui était pour elle inoubliable. Et cela lui rappela un rêve étrange et qui lui faisait peur depuis plusieurs semaines, et cette nuit encore, son rêve avait encore changé voire évolué !


Flashback


Flash


Il était neuf heures sur l’horloge de l’entreprise, Alice était nerveusement stressée, elle n’avait encore une fois toujours pas fini sa prochaine publicité de vente et son patron revient lui demander de travailler. Le travail ne lui manque pas, et elle a encore beaucoup de choses à terminer, mais elle ne faisait rien. Elle se prépara à surfer sur le net pour trouver un site de rencontre jusqu’à ce qu’elle vit un e-mail lui apparaître sur l’écran. Curieuse, elle l’ouvrit et aperçut un véritable cœur bien rouge et saignant. L’inoubliable symbole de l’amour et de la vie, voire aussi un peu d’horreur, mais qui pouvait bien le lui envoyer ? Drôle de mystère. Un second e-mail lui parvient, et cette fois aussi il n’y avait pas d’expéditeur. En revanche il ne s’agissait plus d’un cœur, mais d’un fichier vidéo mettant en scène Alice elle-même en train de poignarder un homme en plein coeur dont on ne voyait point le visage. Le son de la douleur de l’homme éveilla en elle, une certaine jouissance. Mais le cri de l’homme était tel qu’on pouvait l’entendre partout dans la salle, surprise, Alice éteignit rapidement son ordinateur. Le regard de ses compagnons qui la fixait intrigué. Un peu dérangée, Alice fila alors dans son bureau personnel dans l’espoir de ne pas s’attirer d’ennuis, et vit son imprimante, son fax et son ordinateur boguer petit à petit, chacun son tour, enchaînant l’un après l’autre des documents imprimés de mots signifiant la mort, la traitant de meurtrière, et cela dans toutes les langues, des e-mails dont le contenu n’était qu’un simple cœur saignant bien troué. Alice crut devenir dingue, non pas particulièrement parce que son ancien rêve parlait de cœur d’amour, cette fois il s’agit de cœur battant. Rageuse, elle renversa son ordinateur, cassa son imprimante et tout ce qui était électronique. A la fin, Alice put enfin se calmer, pas de cœur, pas de sang : niet ! Elle en a assez, et refuse catégoriquement que quelqu’un se joue d’elle et de ce qui pourrait lui arriver : pourquoi devrait-elle tuer un homme ? C’est alors que tout sembla calme… Très calme, voire un peu trop ! Comme si elle était toute seule dans l’étage. Curieuse, elle rouvrit la porte derrière elle : tout le monde y était, morts allongés sur leurs dossiers, du sang répandu un peu partout et l’horloge afficha toujours neuf heures, consciente qu’elle n’avait plus aucun moyen d’indiquer l’heure depuis son bureau vu qu’elle a tout mis hors service, elle décida de regarder du côté des fenêtres de l’étage : il faisait nuit ! Alice n’en comprit point, quelques minutes seulement s’étaient écoulées, et non pas douze heures ! De même, comment tous ses collègues sont morts ? Un appel fut alors déclenché : Alice entendit alors la sonnerie de son téléphone dans son bureau, mais elle savait qu’il était déjà hors-service ! Tout de même intriguée, Alice retourna vers le milieu de son bureau, là où se trouvait le téléphone, mais il arrêta de sonner. La porte de son bureau claqua violemment, prise de panique, elle se retourna afin d’identifier qui était présent : mais elle ne vit que sa porte trouée : un objet non identifié ressemblant à une lance ou à un trident était planté en plein milieu de la porte : le même que celui de la dernière fois. Elle se rappela de son dernier rêve, et se souvint qu’il y avait son collier. Elle vérifia alors l’objet, et aperçut son collier qui pendait sur l’objet, et remarqua qu’elle ne l’avait plus sur elle : mais l’avait-elle portée ? Une question qu’elle ne pouvait y répondre. Un grondement commença à trembler tout le bâtiment : Alice se sentit seule dans cette ville, et aussi grande soit cette ville, aussi grande était la sensation du vide. Alice se dirigea vers la fenêtre de son bureau, observant les autres bâtiments aux alentours, du centre-ville : tout était noir, et pas le moindre signe de vie : les rues étaient complètement désertes, certains bâtiments à moitié détruits et aucun humain en vue. Tandis que le grondement se rapprocha de plus en plus, petit à petit elle vit une marée de choses qui se forma au loin et qui suivait une ligne droite. Un mur qui se forma et qui détruisit tout ce qui se trouva sur la ligne. Le son d’une moto, et l’apparition d’un dragon d’un gris étincelant. Alice sembla reconnaître une femme ayant la même chevelure qu’elle, ainsi qu’un autre homme. Une D-Wheel, c’était ça, qui se faisait poursuivre par un autre homme ! Un combat dans un duel qui se déroula dessus, et les dommages semblèrent tellement réels, qu’un accident eut lieu. Dérapage soudain, la femme battit en retraite et continua sa course, laissant les deux hommes s’affronter en tête à tête. Puis une lumière scintillante qui se voyait au loin, qui commença à flotter dans les airs. Alice contempla le spectacle, tout ceci n’était qu’un rêve pour elle et pourtant, tout cela semblait tellement réel. Une lumière brilla alors en dessous de son visage, Alice s’aperçut qu’il s’agissait de son collier en forme de soleil. Pourtant, il y avait à peine deux minutes qu’il pendait à la porte. Alice se retourna vérifier s’il était encore présent : non, il n’y est plus. Mais la sorte de lance y était encore. Alice s’approcha doucement vers la porte et empoigna le sceptre noir, et c’est alors que le décor sembla se modifier tout autour d’elle, d’abord tout sembla flou, puis, des bâtiments détruits tout autour, le sceptre se modifiant dans ses mains, le collier toujours lumineux, du vent commença à souffler devant elle, et un siège sortit tout droit de nulle part apparut entre ses jambes. Alice se trouva dans un nouveau lieu, et sur la D-Wheel, le dragon au dessus d’elle. Un disque de duel devant elle, la carte dessus. Plus loin, elle aperçut devant elle deux personnages dont un genre d’insecte, ainsi qu’une toute immense bête qui commença à surgir du sol. Alice impressionnée par la hauteur de ce monstre, perdit contrôle de son véhicule qu’elle ne conduisait pas, et dérapa, l’éjectant hors du véhicule. Tout ceci ne lui causa aucun dommage potentiel, mais le véhicule s’arrêta auprès des mystérieux personnages, et l’un d’eux lui répondit :
- Oh, merci ! dit-il en récupérant la carte The Six Sense – The Brain du mélangeur de cartes situé au milieu de la D-Wheel.
Le personnage ricana, et une lumière aveuglante provenant de la carte récupérée fut projetée sur Alice.

Fin du flash


Alice se réveilla de son rêve dans la chambre de Yann. A défaut de n’apercevoir que Yann pianoter sur le clavier, Blist et Meredith dormaient ensemble sur le salon.

Fin du flashback


Alice se demanda pour la première fois, si ses rêves ne seraient pas plutôt des messages plutôt que de simples cauchemars. Un mauvais présage, une malédiction… Mais faut-il avouer que des insectes géants surgiraient en pleine ville massacrant des humains sur leur passage ? Une idée complètement absurde que personne ne croirait sûrement ! Serait-elle en train de perdre la tête ? Connaissant que l’idée d’un vieillard aussi sage ne se trouvait pas très loin d’elle, et que d’après certaines théories : les sages donnent de bons conseils. Alice songea à l’idée d’en parler au vieillard, malgré le fait qu’elle est plutôt rationnelle. Mais depuis, voir des insectes apparaître de nulle part, voire sous les ordres d’une personne ou de plusieurs, lui semblait déjà une idée impossible à croire. Mais elle en a déjà vu deux fois le même mouvement ! Alice vérifia encore une fois l’écran d’ordinateur : toujours aucun signal de Samantha. Elle se leva de nouveau, et retourna dans la boutique tout en voyant le vieillard qui se donnait à fond pour mettre à jour sa boutique. Elle hésita un moment : pourquoi lui parler de ses problèmes ? Le vieillard semble déjà en avoir selon elle : d’une part à cause de Yann et des brutes, de l’autre la boutique ! Pourquoi devrait-elle rajouter de la sauce par-dessus ? Alice s’acharna de plus en plus sur ses réflexions, et commença même à croire qu’elle n’est plus capable de réfléchir et de choisir elle-même ! Non, il lui fallait quelqu’un à tout prix cette fois. Il n’était plus question d’amour, mais de psychologie avant tout. Le temps défila sous ses yeux : midi passé ! Alice inspira à grands coups, puis, prit son courage à deux mains, et s’approcha du vieillard :
- Euh… Excusez-moi… Je… Euh…
- Oh, mais non !! insista-t-il. C’est bon, je peux me débrouiller tout seul, je n’ai pas besoin d’aide, tout va bien ! Regardez : je suis en pleine forme !!!
- Euh… Non, ce n’est pas pour ça, enfin, si aussi, un peu en attendant oui, mais je veux dire… J’ignore si vous pouvez m’aider, mais j’ai simplement besoin de parler. expliqua-t-elle
- Allons, racontez-moi tout jeune fille ! demanda-t-il curieux
Alice croisa ses doigts dans un sens, dans un autre, elles les frottèrent à ses paumes en joignant ses mains un peu plus pas que sa poitrine.
- Hé bien, c’est plutôt difficile à expliquer. Moi-même je ne me comprends pas !
- C’est pour ça que vous me parlez ! dit le vieillard
- Oui, mais avant toute chose, j’aimerais d’abord vous faire comprendre nullement que je cherche une leçon de morale, remarqua-t-elle, ou que je suis porteuse d’une malédiction ou… Ou quelque chose de ce genre. JE suis rationnelle, et je ne crois pas à ces superstitions ou quelque chose du genre. D’accord ?
- Très bien, dites-moi tout, ma chère. Je suis tout ouïe.


Flunnis n’en pouvait plus de ce rythme : mais comment pourrait-il r »agir face à cette boîte de conserve ? Avec le peu de temps libre qui lui était accordé, il en a profité pour s’en plaindre à ses parents, et chaque fois la réponse n’était pas facile à avaler : « Mais non chéri, tu vas voir, quand tu seras prêt tu n’auras plus rien d’autre à faire et ce sera fini. Rodges est un bon meneur, un bon coach, il sait ce qu’il fait, et c’est pour ton bien ! » disait sa mère. Quel bien est-ce que cela lui ferait s’il deviendrait un zombie aux yeux de ses parents qui le croient maquillé ? Quel bien est-ce que cela lui fait, de devoir faire diverses ondulations de son corps de façon à ce qu’il ne gagne que des courbatures ? Flunnis souffla, sa fatigue était pourtant tellement évidente et visible car exacerbée par l’activité intense que lui fournissait Rodges. Mais qu’avait-il à faire de lui ? Tout ce qui important Rodges, c’était ses parents ! Rien de plus, il semble faire tout afin de l’occuper et de lui mener le voyage très dur. Toujours est-il que Flunnis ne pourrait pas faire confiance à ses parents, et qu’il ne souhaitait pas leur faire arrêter leur séjour. Décidé, il continua ses exercices sans se poser trop de questions.


La sonnerie de l’école retentit, tous les élèves crièrent de joie et coururent sur la cour de récréation, le sac sur leur dos : prêts à apprécier le fait qu’ils puisent dès à présent s’amuser : les cours étant finis.
- Alice ? demanda Judith
Yann et Judith marchaient ensemble en direction de la boutique Stardustland.
- Oui, elle s’est occupée de Blist et de Meredith durant ton absence lors de l’accident. Là elle a accepté de nous joindre, parce qu’à part Flunnis elle a aussi battu Samantha ! Autrement dit : elle est plutôt fortiche !
- Je ne l’ai jamais vue, elle est comment ? demanda Judith
- Elle ressemble à une secrétaire dans les films de westerns ! Tu devrais la voir chez moi, elle surveille si le signal a été lancé !
- D’accord ! acquiesça la petite fille
Soudain, la bande de racailles surgit autour d’eux, et les cernaient :
- Oh, mais t’as ramené une putain de bonne là ! remarqua l’un d’eux
- Yann… s’inquiéta Judith surprise. C’est eux ? murmura-t-elle
La bande fit alors face à Yann qui se mettait bien devant Judith : comme la fois dernière avec l’histoire de l’Avatar et de la carte Stardust : il ne fallait pas que Judith soit une des victimes de ses problèmes personnels. A nouveau, Yann prit son sens de protection, et tendit ses bras en arrière afin de protéger Judith. Max sourit d’un air dédaigneux :
- Enfin de retour ! J’espère que cette fois, tu as prévu de te présenter normalement ! Et pour cadeau, t’as qu’à m’offrir cette nana !
- Ca suffit, y en a assez avec vous ! se défendit Yann
- Quoi ? Tu veux pas aussi qu’on s’amuse un peu avec elle ? demanda Fred
- Vous pouvez vous en prendre à moi, mais pas question de toucher à elle ! Elle n’a rien à voir !
Max avança de plusieurs pas vers Yann qui recula d’un pas, il était effrayé lui aussi, mais il ne pouvait pas se permettre de voir Judith entraînée là-dedans ! Surtout que maintenant, elle a un père, et que ce père là, il le connait très bien : le fameux Avatar qui possède des pouvoirs ! Si seulement Yann en avait, il aurait pu se débarrasser de ces gens là en un coup de balai ! Mais là, il n’y a rien ! Judith s’accrocha discrètement à l’arrière de la veste de Yann, de peur qu’il ne lui arrive quelque chose à elle, ou à lui : bref, que quelque chose de mal et de mauvais se produise sous ses yeux !
- Alors comme ça on veut jouer le héros ? T’as prévu quoi ? Un canon ? s’amusa à plaisanter le leader de la bande. T’sais même pas t’en servir !
Toute la bande rigola, à priori, Yann n’avait prévu aucun moyen de se défendre. Yann murmura vers l’arrière :
- Judith, rentres chez moi ! Et préviens mon père. Te soucies pas de moi.
Judith hésita un moment, mais comprit que Yann ne voulait pas qu’elle soit mêlée à ça. Lui n’avait pas d’ange gardien, comme elle a eu Cosmo Queen. D’ailleurs, elle a perdu le sien par sa faute, et elle se le reproche toujours. Décidée tout de même à vouloir chercher de l’aide, elle se mit à tenter de contourner la bande en courant, mais l’un d’eux lui fit un croche-pied qu’elle ne remarqua pas. Elle tomba le long du trottoir, et Yann criait son nom en courant vers elle : Judith l’avait comprit, sans Cosmo Queen, elle devient une enfant normale, et ne peut pas être sauvée. Fred remarqua que Yann voulait approcher la jeune petite fille, et en profita pour lui donner un coup de poing sur la face du petit garçon qui tomba de l’autre côté. Judith releva un peu la tête, et remarqua qu’elle avait perdu son sac en cours de route, et que la plupart de ses cartes yu-gi-oh furent éparpillées sur le sol.
- Oh non ! s’écria-t-elle en se relevant.
Judith récupéra alors la carte la plus proche, et fut soudainement tirée par les pieds en arrière par l’un de ces affreux. Les vêtements de Judith furent abîmés en se frottant contre le sol, et Judith voulut pleurer, non seulement parce que Yann ne pouvait rien faire, qu’il se faisait tabasser, et que l’autre moitié du groupe la voulaient elle. Cette scène lui rappela ce qui s’était passé avec le violeur, en début d’année, avant que Flunnis et Yann viennent lui sauver. Cette fois, Yann était impuissant, et elle ne pourrait espérer que Flunnis lui vint en aide, parce qu’il devait se trouver bien trop loin. Et pouvait-il faire ? Ces garçons là ne jouent pas aux cartes ! Yann entendit les gémissements de Judith, et se sentit tellement impuissant et coupable d’avoir accepté qu’elle l’accompagne pour voir Alice, qu’il tenta à tout prix de se débattre et de se défendre des coups qu’il recevait. Tous deux avaient peur, peur de ce qui leur arrive, et de ce qu’il arrivera, que ce soit sur eux-mêmes ou pour l’autre. Judith ne se rendit pas compte qu’elle tenait toujours en main la seule carte qu’elle avait récupérée sur le sol avant que les autres ne la plongent en arrière : Fortune Lady Lighty.
(Cosmo Queen !!! Au secours !!!! appela Judith de tout son coeur)
Alors que Judith sembla croire que tout sembla fichu, même en hurlant du maximum qu’elle put, la carte qu’elle tenait commença à briller légèrement. Mais en réalité, il était difficile de distinguer la moindre illumination lorsque le soleil luisait encore au ciel, si c’était la nuit, cette carte aurait agi comme une lampe. Petit à petit se forma une jeune demoiselle aux longs cheveux : la Demoiselle de Fortune de la Lumière se matérialisa à vue d’œil, mais personne ne se rendit vraiment compte qu’elle était présente. Comme un miracle, les grands lâchèrent les enfants, et hurlèrent de rage en se cachant les yeux et en se les frottant :
- AAAAHHH !!! hurla l’un
- Je ne vois plus rien ! dit l’autre
- C’quoi c’truc ? brailla Max
Judith se remit de son état, elle croyait que plus rien n’était possible, elle entendit les hurlements des autres et crut qu’ils étaient devenus fous. Elle aperçut Yann qui la regardait, soucieux de son état ! Elle remarqua derrière lui qu’il y avait une jolie femme volante, qui n’était autre que Fortune Lady Lighty ! Judith délira un instant : ce n’était pas possible ! Qui d’autre jouerait des Fortune Lady ? A moins que ce ne soit elle-même qui l’aurait invoquée, mais comment ? Telle était la question ! L’esprit qu’elle vient de créer souriait devant elle et lui disait :
- Ca va aller mieux, maintenant ! sourit Fortune Lady Lighty avant de disparaître de son champ de vision.
Judith se demanda si c’était vraiment réel, ou si tout ceci n’était qu’illusion. Yann, lui n’avait qu’une idée en tête, se lever avec tant bien d’efforts pour aller voir l’état de Judith :
- Tu vas bien ? demanda-t-il inquiet
- Euh… Oui, oui je…
Judith baissa la tête, ne sachant que trop dire, et remarqua alors la carte qu’elle tenait dans ses mains : Fortune Lady Lighty ! Serait-ce elle qui l’aurait matérialisée ?
- Allez viens ! dit-il en aidant Judith à se relever.
Tous deux rentrèrent chez Yann, le vieillard qui continuait ses paroles :
- Votre rêve symbolise votre conduite intérieure, elle illustre la manière dont vous vous comportez dans des situations sociales ou familiales. C’est simplement un signal d’alarme, qui dit que quelque chose ne vous convient pas dans la vie.
- Ca veut dire que je dois tout abandonner et faire autre chose ? demanda Alice
- Sûrement, peut-être mais euh…
Le vieillard remarqua derrière Alice les deux jeunes enfants, et les rejoignit rapidement :
- Oh non ! Yann !!! s’écria-t-il
Alice vit les deux enfants, elle reconnut la Judith de ses rêves.
(Et si ce n’était pas qu’un simple rêve psychologique… ? Cette fille…)
Judith remarqua la jeune femme qui la regardait plutôt bizarrement. Et le vieillard sembla presque « mort » d’inquiétude ! Il s’empressa de dire :
- Alice, pourriez-vous trouver la boîte à pharmacie, s’il vous plaît ? demanda-t-il
(Alors comme ça, c’est elle ? Alice ? songea la petite Judith)
Alice chercha alors la boîte pharmaceutique, et la donna au vieillard avant de partir.
- Hé, mais où tu vas ? appela Yann
- Désolée, je ne peux vous aider plus longtemps. J’ai beaucoup de travail à réaliser, et comme dit, je dois tout abandonner et faire autre chose. Au revoir ! déclara-t-elle
Et la porte claqua…


Mercredi 28 octobre (suite) :

Terrain d’Alice :
The Six Sense – The View lvl 5 / Light / Ghost / 1900 ATK
The Six Sense – The Voice lvl 3 / Fire / Ghost / 1900 ATK
The Six Sense – The Hear lvl 2 / Water / Ghost / 0 ATK
The Six Sense – The Smell lvl 1 / Wind / Ghost / 1400 ATK
Terrain d’Erwin :
Wulf, Lightsworn Beast lvl 4 / Light / Beast-Warrior / 2100 ATK
1 M/P


- A moi de jouer ! déclara Alice

Tour 6

Alice 300 PV – 3 Cartes / Erwin 5800 PV – 1 Carte
The Six Sense – The Hear lvl 2 / Water / Ghost / 0 => 600 ATK
The Six Sense – The Smell lvl 1 / Wind / Ghost / 1400 => 800 ATK

- L’effet de The Smell : puisque je contrôle un monstre Fire, je peux piocher une carte supplémentaire ! expliqua-t-elle
Alice 300 PV – 4 Cartes / Erwin 5800 PV – 1 Carte
- J’invoque ensuite de ma main : The Six Sense – The Touch !
The Six Sense – The Touch lvl 4 tuner / Earth / Ghost / 1500 ATK
- L’effet de The Voice : comme je contrôle un monstre Earth, je peux doubler l’effet d’une carte de mon choix, et je sélectionne The Six Sense – The Touch ! Par conséquent, puisque je contrôle un monstre Light, l’effet de The Six Sense – The Touche me permet de choisir une carte de mon jeu et l’ajouter à ma main ! Et puisque son effet est doublé, je peux ajouter deux cartes de mon choix de mon deck plutôt qu’une !
Alice 300 PV – 5 Cartes / Erwin 5800 PV – 1 Carte
- Puis, l’effet de The Six Sense – The View : puisque je contrôle un monstre Earth, une fois par tour, mon adversaire renvoie au hasard une carte de sa main dans son deck !
Erwin reposa la carte qu’il tenait en main sur le dessus de son deck et le remélangea.
Alice 300 PV – 5 Cartes / Erwin 5800 PV – 0 Carte
(Même si elle possède 5 monstres, Wulf reste la bête la plus puissante du jeu… A moins qu’elle ne fasse une invocation synchro !)
- J’envoie à présent trois de mes monstres The Six Sense au cimetière, afin de faire l’invocation spéciale de The Six Sense – The Oversight depuis mon cimetière !
The Six Sense – The Touch (cimetière)
The Six Sense – The Smell (cimetière)
The Six Sense – The Voice (cimetière)
The Six Sense – The Oversight lvl 6 / Dark / Ghost / 2300 ATK

- Puisque je contrôle un monstre Dark, The Hear et The View augmentent leur puissance d’attaque d’un montant égal à la somme de leur défense d’origine et de la moitié de leur attaque d’origine !
The Six Sense – The View lvl 5 / Light / Ghost / 1900 => 3350 ATK
The Six Sense – The Hear lvl 2 / Water / Ghost / 600 => 1300 ATK

(Donc, si je me prends toutes ces attaques, je perdrais un montant de 4850 points de vie ! Il ne m’en resterait que 950 points de vie !)
- Ensuite, je joue la carte de magie rituelle : Pandora Sense ! enchaîna Alice.
Pandora Sense
- En envoyant au cimetière, des monstres que je contrôle ou dans ma main, d’un montant égal ou supérieur à sept, je peux invoquer spécialement The Six Sense – The Pandora’s Box !
The Six Sense – The View (cimetière)
The Six Sense – The Hear (cimetière)
The Six Sense – The Pandora’s Box lvl 7 / Dark / Ghost / 1500 ATK

- Lorsque l’invocation de The Six Sense – The Pandora’s Box est effectuée avec succès, je peux designer deux monstres de mon choix que je contrôle, et invoquer spécialement de mon cimetière un monstre The Six Sense d’un montant égal ou inférieur à la différence de force des deux monstres désignés ! La différence de mes deux monstres est de 800 points ! J’invoque spécialement de mon cimetière The Six Sense – The Smell !
The Six Sense – The Smell lvl 1 / Wind / Ghost / 800 => 1200 ATK
- Maintenant, je joue la carte : Double Summon ! Cela me permet d’invoquer normalement un second monstre ce tour-ci :
Double Summon
- Donc, j’invoque Marauding Captain !
Marauding Captain lvl 3 / Earth / Warrior / 1200 ATK
- L’effet de Marauding Captain s’active : je peux invoquer spécialement un monster de niveau 4 ou moins de ma main !
The Six Sense – The Touch lvl 4 tuner / Earth / Ghost / 1500 => 3350 ATK
- Invocation synchro de The Smell, Marauding Captain et The Touch!
The Six Sense – The Brain lvl 8 / Dark / Ghost / ? ATK
=> Lorsque ce monstre est invoqué par invocation synchro, l'attaque de ce monstre est égale à la différence entre l'attaque la plus forte et l'attaque la plus faible des monstres utilisés pour cette invocation synchro. Vous pouvez invoquer spécialement un monstre The Six Sense depuis votre main ou votre cimetière en jeu de niveau 5 ou moins. Augmentez l'attaque de cette carte de 500 points pour chaque The Six Sense en jeu.
- La différence des attaques des monstres utilisés pour l’invocation synchro est de 2150 points ! Donc l’attaque de The Brain s’élèvera à 2150 ! De même, je peux faire l’invocation spéciale d’un monstre The Six Sense de niveau 5 ou moins de mon cimetière !
The Six Sense – The Brain lvl 8 / Dark / Ghost / ? => 2150 ATK
The Six Sense – The View lvl 5 / Light / Ghost / 1900 => 3350 ATK

- De plus, l’effet de The Six Sense – The Brain : il gagne 500 points d’attaque pour chaque The Six Sense en jeu ! ajouta-t-elle
The Six Sense – The Brain lvl 8 / Dark / Ghost / 2150 => 4150 ATK
- The Six Sense – The Oversight attaque Wulf, Lightsworn Beast !
- J’active mon piège : Mirror Force ! contra Erwin
Mirror Force
- L’effet de The Six Sense – The Pandora’s Box : je peux sacrifier ce monstre afin d’annuler et de détruire une carte ayant pour effet de détruire une ou plusieurs cartes monstres !
The Six Sense – The Pandora’s Box (détruit)
Mirror Force (détruit)
Alice 300 PV – 0 Carte / Erwin 5600 PV – 0 Carte
The Six Sense – The Brain lvl 8 / Dark / Ghost / 4150 => 3650 ATK
- Puis, The Six Sense – The View attaque directe !
Alice 300 PV – 0 Carte / Erwin 2250 PV – 0 Carte
- Et enfin, The Six Sense – The Brain, attaque finale !
Alice 300 PV – 0 Carte / Erwin 0 PV – 0 Carte
La fin du duel, Erwin reprit ses cartes, mais Alice lui effleura légèrement le dos de sa main avec la sienne, elle murmura :
- Je peux juste voir tes cartes ? demanda-t-elle
Erwin accepta, et Alice feuilleta le deck jusqu’à repérer la carte : Lightsworn Sabre qu’elle glissa légèrement dans son manche. Puis, elle remélangea son deck, et prit également et discrètement la carte The Six Sense – The Brain qu’elle cacha dans son autre manche. Tous deux rendirent leurs decks au gardien qui attendit impatiemment le rendez-vous d’Alice.
- A ce soir… dit-il
- Oh j’oubliais : pourrais-tu me ramener mon deck ce soir ? J’aimerais te montrer quelque chose à l’égard des autres, si tu vois ce que je veux dire.
Le gardien ne pensa qu’à la bénédiction qu’elle lui offre le soir venu, et il accepta tout bonnement sans y réfléchir.

Rodges emmena Meredith dans un lieu où personne ne pourrait les apercevoir.
- Bon alors ? je croyais que tu avais trouvé de quoi m’occuper !
- Effectivement ! dit une autre voix masquée derrière elle.
Meredith se retourna car elle reconnaissait parfaitement cette voix : aucun doute, c’était bel et bien Samantha.
- Samantha ? M… Mais ? Mais qu’est-ce que tu fais ici ? demanda-t-elle
- Hé bien, je n’ai pas le droit de d’admirer le spectacle de Flunnis ? remarqua Samantha
Meredith recula en arrière, et pendant ce temps Rodges fit apparaître des menottes et un tableau de bord circulaire pour accrocher une personne. Il menotta les mains de Meredith en arrière par surprise. Prise de panique, Meredith voulut crier, mais un poids tomba sur sa tête, l’assomant d’un coup…
- Bon plan, comme prévu ! admira Samantha. Cette fois, il n’aura pas d’autres choix !

Terrain de Francois :
Armityle the Chaos Phantom lvl 12 / Dark / Fiend / 0 ATK
Terrain de Gilles :
Five headed Dragon lvl 12 / Dark / Dragon / 5000 ATK
Totem Dragon lvl 2 / Earth / Dragon / 400 ATK
Spirit Barrier
Flames of the Dragon


Tour 7

- A moi ! déclara Francois
Francois 2500 PV – 1 Carte / Gilles 5500 PV - 0 Carte
- Et au début de mon tour, l’attaque de mon Armityle devient 10 000 !
Armityle the Chaos Phantom lvl 12 / Dark / Fiend / 0 => 10 000 ATK
(Quoiqu’il arrive, il ne m’infligera aucun dommage de combat, Spirit Barrier est une carte qui m’empêche tout dommage de combat ! songea Gilles.)
- Je joue la carte : Heavy Storm ! Cela détruit toutes les cartes magiques et pièges sur le terrain !
- Quoi ? s’exclama Gilles
Heavy Storm
Spirit Barrier (détruit)
Flames of the Dragon (détruit)

- Maintenant, tu peux recevoir des dommages de combat puisque Spirit Barrier n’est plus en jeu ! Armityle the Chaos Phantom, attaque Totem Dr… !
Francois eut un choc, et s’écroula sur le sol. Gilles remarqua alors qu’il s’agissait d’un petit homme qui vient de lui sauver la mise.
- Euh… Merci ! Je…
- Papa ! Papa ! appela Judith en courant le long du tunnel jusqu’à atteindre la pièce.
Le petit homme se retourna vers la jeune fille et lui sourit en disant :
- Bonjour, petite !
(J’ai modifié mon visage afin qu’elle ne me reconnaisse pas, songea-t-il. Et dès que je me serais débarassé de son père, elle sera à moi et servira d’offrande…)


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Envoyé par Monkeydfaust le Dimanche 28 Février 2010 à 16:01


Hey hey hey, c'est le retour de moi ^^. Bon je vais tout de même précisé que ce comm a été réalisé au fil de la lecture, donc il est possible que certaine question que je pose trouve une réponse dans le chapitre, car au vu de la longueur du chapitre, je suis obligé de commer en même temps que je lis. Par contre je ne commerais pas par rapport aux précédents chapitres, je ferais certainement allusion à certains passages mais pas plus, sinon il y a fort à parier que ce comm soit aussi long que le chapitre .

Oui après une longue abscence, comme souvent sur cette fic en fait, et bien je revient pour faire mon comm et mettre mon grain de sel dans ton histoire. Bon allez c'est parti.
Première ligne, et qu'est ce que je vois, on utilise le nom de la fic du chef modo, ce serait pas de la lèche ça? ^^.

Samnatha qui a besoin de se réentrainer, ça c'est pas normal, elle est quand même censée être la meilleure au monde, alors cet entraînement est-il là pour lui apprendre à maîtriser armaniinae? Possible en attendant elle perd quand même super rapidement .

Et voilà le retour du père de Yann, c'est vraiment dommage qu'il soit meurt ce pauvre vieux, il avait vraiment l'air simpathique, paix à son âme . Alors je me pose quand même une question, c'est pour Alice, je trouve que pour quelqu'un qui a beaucoup de boulot, et ben elle travaille pas beaucoup, alors est-ce qu'elle a un permis spécial au niveau de son boulot? Ou dit-elle à son patron qu'elle est en congé maladie? Ou simplement est-elle en vacances? J'aimerais quand même bien savoir, parce qeu un boulot qui te permet de venir quand t'en a envie, je suis preneur ^^.
En plus elle devient amoureuse de Blist, ce qui ne sera pas forcément très bon dans les futures relations qu'elle pourra avoir avec Meredith. Je me pose tout de même une question, pourquoi Blist l'a embrassée? L'aime-t-il d'un amour secret? Ou bien était-ce simplement un moment de folie qu'il n'a pas contrôlé? Enfin bref cette relation est à surveillée, même si pour le moment Blist n'est pas en mesure d'aimer qui que ce soit . Mais du coup je me dis qu'il pourrait bien faire partie des 4 morts de la fin de saison, bien sûr c'est juste une hypothèse, mais j'ai deux-trois raisons de penser cela ^^.

Le rêve d'Alice est vraiment spécial, d'ailleurs je parlerais plus de cauchemard que de rêve, enfin après chacun sa vision des choses ^^. Tu utilises un style totalement différent lors de ce passage et je dis tant mieux, j'ai vraiment été pris dans le rêve, le suspence était là, j'avais même carrément l'impression de vivre le rêve. Les détails des scènes était assez précis pour que l'on puisse se rendre compte de la violence qu'il y avait, ce qui par moment me faisait un peu flippé, je ne veut pas dire que j'ai eu peur (enfin si un peu, peut-être, des fois ), mais que l'effet que ça m'a fait, c'est le même que quand tu regarde un film d'horreur (à la différence que là tu ne sursautes pas à chaque évènement, du fait que nous n'avons pas d'images). Donc chapeau bas pour cette partie l'ami, j'en applaudis même à deux mains .
Passons maintenant à la symbolique qu'il pourrait avoir. Alors tout d'abord les e-mail, les faxs et tout ce qu'i s'en suit représentent donc un meurtre commis pas Alice. Une question se pose déjà, est-ce un meurtre qu'elle a déjà commis, ou bien est-ce un meurtre qu'elle commètera? Question assez sensible, même si au vu de sa réction elle n'est toujours pas commis de meurtre, mais en même temps on ne peut pas trop se mouiller étant donné que le passé d'Alice est plutôt flou. Bon ensuite le trident, mais celui-là on a déjà eu l'explication vu que cela représentait une scène passée, celle de la rencontre du personnegae (maintenant mère de Judith), de la créature et d'Alice, donc si je ne me trompe pas, ce sceptre enfoncer dans la porte représente ce passage là.
Ensuite le combat n D-Whel, là y a plusieurs signification possible en fait, parce que elle ne monte sur ce véhicule qu'après que son collier ne se soit mis à briller, donc on pourrait se dire que c'est à cause de ce dernier qu'elle montera sur la machine ou encore que ce collier lui permet de faire des voyages spatio-temporels, enfin bref, beaucoup trop flou pour en tirer quoi que ce soit. On sait simplement que ce collier fait partie des cinq objet qui permettent l'accomplissement du rituel du pentagramme, donc on peut se dire qu'il a, ou qu'il a eu, une certaine conotation spécifique aux insectes (ouais ceux qui ont des noms inprononçables )
Puis la fin du rêve/cauchemard, le duel en D-wheel. Alors d'une je ne vois pas où Alice pourrait trouver un véhicule et de deux pourquoi ferait-elle un duel en D-Wheel? Pour l'obtention, on pourrait imaginer que Erwin lui prêtes sa D-Wheel, mais je ne pense pas vu qu'il faut jouer lightsworn pour pouvoir rouler avec donc à écarter, il retse donc la possibilité qu'elle aie sa propre machine, mais qu'elle ne l'aie jamais montrée et puis elle se déplace en voiture donc je pense que cette hypothèse aussi tombe à l'eau. Donc selon moi quelqu'un va lui filer une D-Wheel, après par qui c'est une grande question, remarque il est aussi possible qu'elle vole la D-Wheel, mais bon déjà qu'elle passe pour une meurtrière, on en va peut-être pas la faire passer pour une voleuse aussi . Mais le rpoblème c'est qu'elle ne semble pas livrer ce duel, juste le regarder, donc pourquoi? je serait presque prête à parier que c'est parce que Blist joue mais bon, ça me semble peu réalisable. Et donc elle perdrait ensuite une de ses cartes, une nouvelle question arrive, pourquoi ce personnage, qui peut-être n'importe qui, veut the brain? A-t-elle un pouvoir caché que l'on ne soupçonne pas, ou bien fait-elle référence à un acte passé? On verra certainement cela plus tard.

- Oui, mais avant toute chose, j’aimerais d’abord vous faire comprendre nullement que je cherche une leçon de morale, remarqua-t-elle, ou que je suis porteuse d’une malédiction ou… Ou quelque chose de ce genre. JE suis rationnelle, et je ne crois pas à ces superstitions ou quelque chose du genre. D’accord ?


Mais non tu n'est pas folle .

- Vous pouvez vous en prendre à moi, mais pas question de toucher à elle ! Elle n’a rien à voir !


Moi je dis bravo quand même parce que un gamin de 10 ans qui a ce genre de réction c'est pas courant. D'ailleurs, c'est pas du détournement de mineurs ça? ^^, je parles bien sûr du comportement des brutes, pas de celui de Yann ^^. Bon ben c'est une situation qui me rappèle un peu ma fic (faudrait d'ailleurs peut-être que je la up un jour ), un comportement chevaleresque et un esprit de protection remarquable de la part de Yann. Mais surtout on voit la première matérialisation des pouvoirs de Judith, donc apparemment ce serait lié à ses sentiments d'après ce que l'on peut voir, mais cela n'est valable que pour le moment où elle ne contrôle pas ses pouvoirs, mais qu'après un peu d'entraînement elle arrive à les maîtriser un peu à la manière de Aki dans 5D's en quelques sortes.
Ensuite la première rencontre entre Alice et Judith, un peu froide comme ambiance quand même, pas de bonjour ou de sourire, plutôt des regards énigmatique, apparemment Alice à peur de Judith, mais pourquoi? Ca j'en sais rien, d'après ce qu'on lit ça a un rapport avec son rêve mais bon, pas beaucoup d'indices pour le coup.

Quel duel!! Franchement le deck d'Alice est vraiment terrifiant, en un tour elle a réussi à invoquer pas mal de monstres (j'ai la flemme de compter ^^), en un tour elle retourne une situation mal engagée, je commence à me demander si elle n'est pas plus forte que Samantha. Et puis voilà qu'elle bat un deck lightsworn, franchement pas mal du tout, le deck que tu as créé est bien foutu, y a pas de disproportion des effets et on a l'impression de voir le deck Six Samouraïs, sous une autre forme évidement. J'avais complètement oublié la faveur d'Alice pour le gardien, héhé, j'éspère que la scène sera bien décrite dans les moindres détails (ah vas-t-en de là esprit pervers ), mais je ne vois pas pourquoi Alice a volée la carte magie d'Erwin, à quoi cela pourrait-elle bien lui servir?

Il menotta les mains de Meredith en arrière par surprise.


Après un pari plus que douteux avec Alice, voilà que tu te mets dans le Sm, intéréssant . Non sérieusement je ne me souvenais plus que Meredith se trouvait Rodges ^^', mais voilà tout de même un nouveau rebondissement, Samantha va revoir Flunnis et va réussir à l'inciter à jouer contre elle en se servant de Meredith, même si je ne pense pas qu'elle avait besoin de ça pour l'affronter.

Spéciale comme fin de chapitre. La fin du duel entre François et Gilles me laisse un gout amère, je ne m'attendais pas à ce que cela se termine ainsi, je dirais que je suis un peu déçu, mais bon. Et voici le retour de notre nain perver, youhou !! Que va-t-il nous inventer pour pouvoir se retrouver seul avec Judith, parce que c'est quand même son but premier. D'ailleurs je ne trouve pas très intelklignet ce qu'il a fait, si il avait simplement laissé François se débarasser de Gilles en duel et qu'il avait assomer François ensuite, il n'y aurait pas eu de problèmes pour que Judith se retrouve seul avec lui, mais bon j'imagine que tu vas nous trouver une explication à ça.

Voilà c'est ici que s'achève mon commentaire, quoi il est grand? Mais non, en tout cas pas plus que le chapitre. Donc j'attends les réponses à toutes les questions posées, et je veux de bonnes réponses hein? ^^. Bon écris-nous vite la suite qu'on saches comment tout cela va se terminer.
Sur ce, bonne fin de journée .

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Ma Fic - Se venger des Ténèbres (Et oui ! Un petit coup de pub ne peut pas faire de mal ) Et ma fic mono-duel: Jaden Yuki VS Crow Hogan

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